Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Bribes de mots
19 septembre 2009

Alerte à la Maladie !

La maladie du bonheur

ATTENTION ! Une épidémie mondiale est en train de se propager à une allure vertigineuse. L’O.M.B. (Organisation Mondiale du Bien-être) prévoit que des milliards de personnes seront contaminées dans les dix ans à venir.

Voici les symptômes de cette terrible maladie :

1- Tendance à se laisser guider par son intuition personnelle plutôt que d’agir sous la pression des peurs, idées reçues et conditionnement du passé.

2- Manque total d’intérêt pour juger les autres, se juger soi-même et s’intéresser à tout ce qui engendre des conflits.

3- Perte complète de la capacité de se faire du souci (cela représente l’un des symptômes les plus graves).

4- Plaisir constant d’apprécier les choses et les êtres tels qu’ils sont, ce qui entraîne une disparition de l’habitude de vouloir changer les autres.

5- Désir intense de se transformer soi-même pour développer ses potentiels de santé, de créativités et d’amour.

6- Attaques répétées de sourires, ce sourire qui dit " merci " et donne le sentiment d’unité et d’harmonie avec tout ce qui vit.

7- Ouverture sans cesse croissante à l’esprit d’enfance, à la simplicité, au rire et à la gaieté.

Si vous voulez continuer à vivre dans la peur, les conflits, la maladie et le conformisme, évitez tout contact avec des personnes présentant ces symptômes. Cette maladie est extrêmement contagieuse. Si vous présentez déjà des symptômes, sachez que votre état est probablement irréversible. Les traitements médicaux chimiques peuvent faire disparaître momentanément quelques symptômes, mais ne peuvent s’opposer à la progression inéluctable du mal. Aucun vaccin anti-bonheur n’existe. Comme cette maladie du bonheur provoque une perte totale de la peur de mourir qui est le pilier central des croyances de la société matérialiste moderne, des troubles sociaux graves risquent de se produire, tels que grèves de l’esprit belliqueux, rassemblements de gens heureux pour chanter, danser et célébrer la vie, cercles de partages et de guérison, crises collectives de fou rire.

Trouvé je ne sais où sur le web !

Publicité
26 septembre 2009

Mais le fleuve tuera l'homme blanc de Patrick Besson

Brazzaville, fin de la saison sèche 2007. En Afrique équatoriale, il y a deux saisons : la sèche et la mouillée, dite aussi saison des pluies. Et une température unique : 30°. Christophe Parmentier, jeune cadre supérieur d'une compagnie pétrolière française, reconnaît, dans l'Airbus A320 qui l'emmène au Congo, Blandine de Kergalec, ancien officier de la DGSE, rayée des cadres en 1985 à la suite d'un scandale. Il rencontre aussi Bernard Lemaire, historien et conférencier spécialisé dans le conseil aux Présidents africains, et sa compagne, Elena Petrova, Russe installée à Brazzaville travaillant dans l'import-export et mère d'un ado métis : Pouchkine, étudiant en philosophie et peintre abstrait. Tous seront mêlés à un règlement de comptes ultraviolent entre Rwandais : Hutus et Tutsis.


J'ai aimé parce que j'ai retrouvé l'afrique, telle qu'elle est...Roman sur fond d'espionnage, bien mené ( comme dans tous les gros livre, j'ai trouvé quelques longueurs !) l'histoire des Rwandais  vue sous un autre angle, bref à lire!

30 septembre 2009

le voyage d'hiver d'Amélie Nothomb

'Il n'y a pas d'échec amoureux. Zoïle s'apprête à se faire exploser dans un avion. Dans l'aéroport, dans l'attente, il raconte... l'amour, la femme, les raisons de son geste...

Je lis tous les ans le livre qui sort d'Amélie Nothomb ( mais je ne l'achète pas ! merci Mimi de me l'avoir prêté!)
je ne sais pas si j'aime, je passe un bon moment, je trouve plein de phrases clés qui donnent à réflexion, j'aime un certain humour,  j'aime le côté décalé et barjo et puis il y a les pensées que je n'aime pas, qui dérangent, mettent mal à l'aise, bref a prendre ou à laisser!

3 octobre 2009

Dialogue

Tu dis ?
<…….
Je n’entends pas très bien, excuse-moi, je suis un peu sourd tu sais
<……..
Si tu pouvais parler un tout petit peu plus fort, tu serais bien gentil
<……..
Viens, rapproche toi, là
<…….
Je comprends rien, nom de dieu
<…….
Mais articule bon sang de bonsoir
<……..
Personne ne t’a jamais appris à parler correctement
<.......
Quoi rien, t’avais rien à dire ?

<……….
Une autre fois ?
<Les viocs, tous les mêmes y captent ke ski veulent
Kan sa les arrange…grrrrrrrrrrr

Consigne: Dialogue

11 octobre 2009

Droit à l'erreur

Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 100 euros. Il demande aux gens :
"Qui aimerait avoir ce billet ?"
Les mains commencent à se lever, alors il dit :
"Je vais donner ce billet de 100 euros à l'un d'entre vous mais avant laissez-moi faire quelque chose avec."
 

Il chiffonne alors le billet avec force et il demande :
"Est-ce que vous voulez toujours ce billet ?"
Les mains continuent à se lever.
"Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela."
Il jette le billet froissé par terre et saute à pied joints dessus, l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher.
Ensuite il demande :
"Qui veut encore avoir ce billet ?"
Évidemment, les mains continuent de se lever !
"Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon... Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n'a pas changé, il vaut toujours 100 euros. Alors pensez à vous, à votre vie. Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissé, rejeté, souillé par les gens ou par les événements. Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien mais en réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment !"
 

La valeur d'une personne ne tient pas à ce que l'on a fait ou pas, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque est toujours intacte. 

Publicité
17 octobre 2009

Appareil photo

Elle et Moi

Je ne comprends pas, déjà samedi et elle n’a toujours rien écrit, pourtant avec un sujet pareil… A moins qu’elle n’ose pas dévoiler notre … intimité, notre… relation…, elle m’aime, c’est évident et moi j’aime être suspendu à son cou, doucement balloté  quand elle marche, elle ne sort jamais sans moi, c’est comme un réflexe, elle me trimballe partout, je me fais le plus léger possible, je sais bien que je suis un peu encombrant alors je fais mon important quand elle m’attrape, vise, vérifie sa prise mais tout ça c’est sans importance parce que nous deux on s’aime, alors si elle n’a pas envie de parler de nous tant pis, enfin…. je voulais vous dire, comme ça, tout bas, qu’elle a quand même accepté de nous créer un blog c’est ici , et moi j’en suis très fier !

Consigne: faire parler un appareil photo.

21 octobre 2009

Méditation

Source d’inspiration

Marcher pour le simple plaisir de marcher, librement et avec assurance, sans se presser.

On est présent à chaque pas que l’on effectue.

Si l’on veut parler, on s’arrête de marcher et on accorde toute son attention à la personne qui se trouve devant soi, au fait de parler et d’écouter….Arrêtons nous, regardons autour de nous et voyons comme la vie est belles : les arbres, les nuages blancs et l’infinité du ciel. Ecoutez les oiseaux, goûtez la légèreté de la brise. Marchons comme des êtres libres et sentons nos pas s’alléger au fur et à mesure que nous marchons. Apprécions chaque pas que nous faisons.

Thich Nhat Hanh

24 octobre 2009

Partage et joie

Le cercle de la joie

Un jour, un paysan se présenta à la porte d'un couvent et frappa énergiquement. Quand le frère portier ouvrit la lourde porte de chêne, le paysan lui montra, souriant, une magnifique grappe de raisin.

« Cher frère portier, dit le paysan, sais-tu à qui je veux offrir cette grappe de raisin, la plus belle de ma vigne? »

— Sans doute au Père Abbé ou à quelque moine du couvent!

— Non, à toi!

— À moi? Le frère portier en devint tout rouge de joie.

— C'est vraiment à moi que tu veux la donner?

— Bien sûr, parce que tu m'as toujours reçu avec amitié et tu m'as aidé quand je te le demandais. Je voudrais que cette grappe de raisin t'apporte un peu de joie. »

Et la joie simple et franche qu'il voyait sur le visage du frère portier l'illuminait lui aussi tout autant. Le frère portier posa la grappe bien en vue et passa la matinée à l'admirer. C'était vraiment une grappe étonnante. Et puis, à un moment donné, lui vint une idée : « Pourquoi ne pas porter cette grappe au Père Abbé, pour lui donner un peu de joie à lui aussi? »

Il prit la grappe et l'apporta au Père Abbé. Celui-ci fut sincèrement heureux. Mais il se souvint qu'il y avait dans le couvent un vieux frère malade et il pensa : « Je vais lui apporter la grappe. Ça lui donnera un peu de réconfort. »

Ainsi la grappe émigra de nouveau. Mais elle ne resta pas longtemps dans la cellule du frère malade. Celui-ci, en effet, pensa que la grappe ferait aussi la joie du frère cuisinier, qui passait ses journées à suer derrière ses marmites, et il la lui fit parvenir.

Mais le frère cuisinier la remit au frère sacristain, afin qu'il ait, lui aussi, un peu de joie. Ce dernier la porta à un autre. Et ainsi de suite, jusqu'à ce que la grappe revint au frère portier, pour lui donner un peu de joie... Ainsi se referma le cercle. Un cercle de joie!

L'amour est l'unique trésor qui se multiplie quand on le divise; c'est l'unique cadeau qui augmente au fur et à mesure qu'on en soustrait une part.


28 octobre 2009

A fleur de mots

J’ai quatorze ans
La fleur de l’âge
A fleur de mots
Je vous le dis
La vie me ment
La vie me trahit
Pas beau … beau

A fleur de maux
Je vous le dis
J’aime pas la vie
C’est trop ... Trop
Je lacère ma peau
Je vous … je me violente

A fleur de peau
Avant d’en finir
Je vous écris ces mots
Pour vous dire
Pas de pleurs
Pas de fleurs.

consigne: A fleur de mots

20 novembre 2009

Ce que je sais de Véra candida de Véronique Ovaldé

Quelque part dans une Amérique du Sud imaginaire, trois femmes d'une même lignée semblent promises au même destin : enfanter une fille et ne pouvoir jamais révéler le nom du père. Elles se nomment Rose, Violette et Vera Candida. Elles sont toutes éprises de liberté mais enclines à la mélancolie, téméraires mais sujettes aux fatalités propres à leur sexe. Parmi elles, seule Vera Candida ose penser qu'un destin, cela se brise. Elle fuit l'île de Vatapuna dès sa quinzième année et part pour Lahomeria, où elle rêve d'une vie sans passé. Un certain Itxaga, journaliste à L' Indépendant, va grandement bouleverser cet espoir.

J'aime l'écriture et le brin de folie mélancolique de V. Ovaldé.  Histoire particulière de gens particuliers, différents, j'aime beaucoup aimé.

21 novembre 2009

Liberté

La liberté suprême

Ce serait quoi ?

Oser être soi

Sous le regard des autres ?

Choisir l’heure de sa propre mort ?

Ne plus avoir peur

De tout et de rien ?

S’aimer soi pour de vrai

En acceptant ses plus et ses moins?

Ajouter une bonne dose d’insouciance

Et de frivolité  au quotidien ?

Allez… tchao, j’y go

J’enfile une robe rose bonbon

Et je file en boîte un pétard au bec….


consigne: liberté

30 novembre 2009

La diagonale du vide de Pierre Péju

Marc Tavenne, le narrateur, est un designer à succès. A la suite de la mort brutale de son associé et ami, son double, il décide de 'tout arrêter. Il a l'impression d'être 'passé à côté de sa propre histoire', d'avoir une existence vide de sens et d'événements. Il se réfugie dans un gîte perdu, en Ardèche où ne passe qu'un sentier de grande randonnée. Un soir, une marcheuse blonde et énigmatique fait son apparition. Elle explique que pour une raison qu'elle ne peut révéler elle a entrepris de traverser la France, à pied, en suivant ce que les géographes appellent la diagonale du vide.

réflexion sur le temps qui passe, critique d’une société où tout va trop vite, la guerre, la solitude, la maladie, le 11 septembre, beaucoup de thèmes abordés, j'ai lu avec plaisir, c'est bien écrit, parfois un peu pathos!

6 décembre 2009

La grande histoire des codes secrets de laurent Joffrin

Entraînant le lecteur dans les méandres de la cryptographie et de l'histoire des civilisations, l'auteur s'appuie sur des récits historiques pour expliquer les procédés de transposition, d'encodage et de substitution. Le plus : après chaque récit, glissez-vous dans la peau d'un cryptologue pour découvrir un message original.

Très sympa, un peu d'histoire, j'ai passé un excellent moment à lire dans un registre différent des romans. Merci à Aymeric qui m'a prété ce livre, je comprends mieux ta passion pour les énigmes .

11 décembre 2009

Mode d'emploi

T’es pas foutue de lire un mode d’emploi

Ils t’ont même fait un dessin

T’es vraiment une pauvre cloche

Les deux pieds dans le même sabot

Douée comme un manche

C’est pourtant pas chinois

Passe-moi le tournevis

Plus gros

….

Plus petit

….

Le cruciforme

….

Moins gros

….

Le marteau

….

La tenaille

….

La pince

…..

Bordel c’est immontable

La pauvre cloche te remercie

Pour ton aide……

Et te confirme que le produit

Est made in china !


Consigne des impromptus: mode d'emploi

16 décembre 2009

la double vie d'Anna Song

Anna Song, 'la plus grande pianiste vivante dont personne n'a jamais entendu parler', vient de mourir, laissant derrière elle une oeuvre discographique sans précédent. Paul Desroches, son mari et producteur, lui dresse un tombeau musical et littéraire, à la fois ode à une femme désespérément aimée, à une enfance engloutie dans le temps et à un pays perdu. Sur fond d'imposture et de falsification, quand le grand amour devient l'oeuvre de toute une vie.

J'ai vraiment adoré ce livre que vous dire de plus sinon de le lire absolument!

19 décembre 2009

L'important pour toi c'est quoi ?

Un amérindien et son ami, en visite au centre ville de New York, marchaient près de Times Square dans Manhattan.
C'était durant l'heure du lunch et les rues étaient bondées de monde.
Les autos klaxonnaient de plus belle, les autos taxi faisaient crisser leurs pneus sur les coins de rue,
les sirènes hurlaient et les bruits de la ville rendaient presque sourd.
Soudain, l'amérindien dit, “j'entends un grillon.”
Son ami répondit, “Quoi? Tu dois être fou.
Tu ne pourrais jamais entendre un grillon au milieu de tout ce vacarme!”

“Non, j'en suis sûr,” dit l'amérindien, “j'entends un grillon.”
“C'est fou,” dit l'ami.

L'amérindien écouta attentivement pendant un moment,
puis traversa la rue jusqu'à un gros planteur en ciment où poussaient quelques arbustes.
Il regarda à l'intérieur des arbustes, sous les branches et avec assurance il localisa un petit grillon.
Son ami était complètement stupéfait.
“C'est incroyable,” dit son ami. “Tu dois avoir des oreilles super-humaines !”

“Non,” répondit l'amérindien. “Mes oreilles ne sont pas différentes des tiennes.
Tout ça dépend de ce que tu cherches à entendre.”
“Mais ça ne se peut pas !” dit l'ami. “Je ne pourrais jamais entendre un grillon dans ce bruit.”
“Oui, c'est vrai,” repliqua l'amérindien.
“Ça dépend de ce qui est vraiment important pour toi.
Tiens, laisse-moi te le démontrer.”

Il fouilla dans sa poche, en retira quelques sous et discrètement les jeta sur le trottoir.
Et alors, malgré le bruit de la rue bondée de monde retentissant encore dans leurs oreilles,
ils remarquèrent que toutes les têtes, jusqu'à une distance de sept mêtres d'eux,
se tournaient et regardaient pour voir si la monnaie qui tintait sur le pavement était la leur
“Tu vois ce que je veux dire?” demanda l'amérindien. “Tout ça dépend de ce qui est important pour toi.”

Source : les passeurs

21 décembre 2009

Les larmes

"On associe généralement les larmes au chagrin, mais en réalité n’importe quelle émotion peut provoquer des larmes. Il y a des larmes de tristesse, de colère, de rage, de dépit, et il y a aussi des larmes de joie, d’émerveillement. La poésie, la peinture, la musique peuvent remplir nos yeux de larmes, mais également certaines conduites humaines quand elles sont particulièrement belles et nobles.
Dans la mesure où les larmes libèrent une certaine tension intérieure, quelle que soit leur origine, elles sont utiles. Mais évidemment les larmes de joie et d’émerveillement sont les plus bénéfiques. Alors, n’essuyez pas ces larmes d’un revers de main, recueillez-les dans un tissu propre et conservez-les soigneusement, car elles possèdent un grand pouvoir. Les larmes de dépit, de chagrin, de colère, laissez-les sécher, elles ne sont qu’un peu d’eau salée, mais conservez les larmes qui ont été arrachées aux profondeurs de votre âme."

Omraam Mikhaël Aïvanhov

28 décembre 2009

Chacun de nous est .... une étoile de mer

Un monsieur qui se promène avec son chien sur une plage voit au loin un jeune homme qui ramasse des choses par terre et les jette à la mer. Interpellé par ce qu'il voit il se rapproche du jeune homme et s'aperçoit que ce dernier ramasse des étoiles de mer et les remet à l'eau.

Le monsieur demande alors au jeune homme : " bonjour jeune homme, pourquoi jetez vous ces étoiles de mer à l'eau ?"

Le jeune homme répond : "si je ne le fait pas elles vont mourir " Le monsieur s'exclame alors : "mais il y en a des millions, ce que vous faites n'a aucune importance !"

Le jeune homme regarde alors l'étoile de mer qu'il a dans la main, la remet dans l'eau et répond : "pour celle ci cela a de l'importance !"


2 janvier 2010

Les voeux de l'indien

Pour l'année qui se pointe, je ne te souhaite pas la Santé
car peut-être tu tomberas malade,
mais je souhaite que tu puisses trouver les remèdes qui pourraient te guérir.

Je ne te souhaite pas la Prospérité,
car tu vas peut-être avoir à subir tous genres de revers
mais je te souhaite, qu'en fin de compte, tu sois en mesure de surmonter l'adversité et de ne pas te laisser abattre.

Enfin, je ne te souhaite pas le Bonheur,
car sûrement, du fait que tu existes, tu vas avoir à affronter des problèmes de la Vie:
je te souhaite de les résoudre au fur et à mesure qu'ils se présentent et de continuer, en attendant que les problèmes se résolvent d'être heureux au jour le jour.

Et je te souhaite

La Sérénité d'accepter ce qui peut changer
Le Courage de changer ce qui peut l'être
La Sagesse de connaître la différence.
 

4 janvier 2010

Symbolique de la bruyère

parce que les statistiques me disent que vous êtes nombreux à venir consulter les symboliques.......

les bruits d'hier. A perdu les vraies richesses; Nostalgie d'un passé devenu mythique qui laisse un goût de cendres. voudrait revenir au temps de l'ancienne lune, temps de ses origines, quand tout baignait dans une atmosphère sacrée ou sacralisée par le souvenir ( selon B.Vial)

5 janvier 2010

Tâches de ne pas devenir folle de Vanessa Schneider

Après 'La Mère de ma mère, Vanessa Schneider explore l'étrange destinée de la mère de son père. Pour ses enfants, elle était Marthe, pilier central d'une famille de fous, qui garde de son enfance en Roumanie un caractère indépendant et détaché. Marthe et son beau mari homosexuel, dont elle tentera de se consoler auprès d'amants successifs, père de ses nombreux enfants.

destins de femmes, histoire de lignées, j'ai adoré !

7 janvier 2010

Résolutions

Cette année je ne prendrai
Qu’une seule résolution
Celle de ne pas en prendre
Pourquoi me mentir
Pourquoi me leurrer
Des il faudrait que
Sans lendemains
Je connais trop
Cette année je serai
Opportuniste
Je capterai à l’arrache
L’instant propice
A l’infime changement
Qui amorcera
Goutte à goutte
En cascade cristalline
La lente révolution
Intérieure

8 janvier 2010

chemin de vie ou la calèche

Ce texte est un peu long mais je l'aime beaucoup, découvert il y a une vingtaine d'années à un cours de yoga, je le retrouve avec plaisir et vous le fais partager

Le Chemin de Vie est une sorte de fil conducteur que tout être humain suit au cours de son existence. Nous pouvons le comparer au scénario d'un film ou au «livre de route» des ralliements actuels. Nous avançons sur ce chemin en utilisant un véhicule particulier qui est notre corps physique. Les Orientaux nous proposent une image fort intéressante pour ce véhicule et ce Chemin de Vie. Nous sommes, disent-ils, comme une charrette, une Calèche qui représente notre corps physique et qui circule sur un chemin qui symbolise la vie ou plutôt le Chemin de Vie. Voyons jusqu'où nous pouvons pousser cette image?

Le chemin sur lequel circule la Calèche est un chemin de terre. Comme tous les chemins de terre, il comporte des « nids-de-poule », des trous, des bosses, des cailloux, des ornières et des fossés de chaque côté. Les trous, les bosses et les cailloux sont les difficultés, les heurts de la vie. Les ornières sont les schémas déjà existants que nous reprenons des autres et que nous reproduisons. Les fossés, plus ou moins profonds, représentent les règles. Les limites à ne pas franchir sous peine d'accident. Ce chemin comporte parfois des virages qui empêchent la visibilité ou traverse parfois des zones de brume ou des orages. Ce sont toutes ces phases de notre vie où nous sommes « dans le brouillard », où nous avons de la difficulté à voir clair ou à pouvoir anticiper car nous ne pouvons « voir devant ».

Cette Calèche est tirée par deux chevaux, un blanc (Yang) qui est à gauche et un noir (Yin) qui est à droite. Ces chevaux symbolisent les émotions, ce qui nous montre à quel point ce sont elles qui nous tirent, voire nous mènent dans la vie. La Calèche est conduite par un Cocher qui représente notre mental, notre Conscient. Elle possède quatre roues, deux devant (les bras), qui donnent la direction ou plutôt impliquent la direction donnée par le Cocher aux chevaux, et deux derrière (les jambes), qui portent et transportent la charge (elles sont d'ailleurs toujours plus grosses que celles de l'avant). À l'intérieur de la Calèche, il y a un passager que l'on ne voit pas. Il s'agit du Maître ou Guide Intérieur de chacun de nous, de notre Non-Conscient, de notre Conscience Holographique. Les chrétiens l'appellent« l'Ange Gardien ».


Notre Calèche personnelle avance donc sur le chemin de la vie, dirigée en apparence par le Cocher. Je dis bien en apparence, car si c'est bien lui qui la conduit, c'est en fait le passager qui a donné la destination... Le Cocher, qui est notre mental, conduit donc la Calèche. De la qualité de sa vigilance et de sa conduite (ferme mais en douceur) vont dépendre la qualité et confort du voyage (existence). S'il brutalise les chevaux (émotions) et les brime, ceux-ci vont s'énerver ou s'emballer à un moment donné et risquer de conduire la Calèche à l'accident, de la même manière que nos émotions nous conduisent parfois à des actes irraisonnables voire dangereux. Si le conducteur est trop relâché, s'il manque de vigilance, l'attelage va passer dans les ornières (reproduction des schémas parentaux, par exemple) et nous suivrons alors les traces des autres, en courant le risque d'aller dans le fossé comme eux s'ils l'ont fait. De la même façon, s'il n'est pas vigilant, le Cocher ne saura pas non plus éviter les trous, les bosses, les nids-de-poule (coups, erreurs de la vie) et le voyage sera très inconfortable pour la Calèche, le Cocher et le Maître ou Guide Intérieur.

S'il s'endort ou ne tient pas les rênes, ce seront alors les chevaux (émotions) qui dirigeront la Calèche. Si le cheval noir est le plus fort (parce que nous l'avons mieux nourri...), la Calèche va tirer à droite et être guidée par les images émo­tives maternelles. Si c'est le cheval blanc dont nous nous occupons le mieux et qui domine, la Calèche va tirer à gauche, vers les représentations émotives paternelles. Lorsque le Cocher conduit trop vite, force trop, comme nous le faisons parfois, ou si les chevaux s'emballent, c'est le fossé, l'acci­dent qui arrête plus ou moins violemment tout l'attelage et avec plus ou moins de dégâts (accidents et traumatismes).


Parfois, une roue ou une pièce de la Calèche lâche (maladie), soit parce qu'elle était fragile, soit parce que la Calèche est passée sur trop de bosses et dans trop de trous (accumulation de comportements, d'attitudes inadéquates). Il faut alors réparer et selon la gravité de la panne, nous allons pouvoir le faire nous-mêmes (repos, cicatrisation), devoir faire appel à un dépanneur (médecine douce, naturelle) ou si c'est encore plus grave à un réparateur (médecine moderne). Mais il sera de toute façon important de ne pas nous contenter de changer la pièce. Il sera essentiel de réfléchir à la conduite du Cocher et à la manière avec laquelle nous allons chan­ger nos comportements, nos attitudes face à la vie, si nous ne voulons pas que « la panne» se reproduise.

Parfois, la Calèche traverse des zones de faible visibilité, c'est-à-dire que nous ne voyons pas vraiment où nous allons. Il peut s'agir d'un simple virage. Nous pouvons le voir et nous préparer à son arrivée en anticipant. Nous devons alors ralentir, repérer dans quel sens tourne le chemin et suivre la courbe en tenant bien les chevaux (maîtriser par exemple nos émotions quand nous vivons une phase de changement voulue ou subie). Lorsqu'il s'agit de brume ou d'orage, il nous est alors plus difficile de conduire notre Calèche. Nous devons « naviguer à vue », en ralentissant l'allure et en nous fiant aux bords immédiats du chemin. Nous devons dans cette phase faire une confiance totale, pour ne pas dire « aveugle », dans le Chemin de Vie (lois naturelles, règles de la Tradition, Foi, etc.) et le Maître ou Guide Intérieur (Non-Conscient) qui a choisi ce chemin. Ce sont les phases de la vie où nous sommes perdus « dans le brouillard» et où nous ne savons plus où nous allons. Dans ces moments-là, nous ne pouvons plus faire autrement que laisser la vie nous montrer la route.


Parfois, enfin, nous arrivons à des carrefours, des bifurcations. Si le chemin n'est pas balisé, nous ne savons pas quelle direction prendre. Le Cocher (le mental, l'intellect) peut prendre une direction au hasard. Le risque de se tromper, voire de se perdre, est grand. Plus le Cocher est sûr de lui, persuadé de tout connaître et de tout maîtriser, plus il va vouloir et penser savoir quelle direction choisir et plus le risque sera important. Nous sommes alors dans le règne de la «technocratie rationaliste », où la raison et l'intellect croient pouvoir tout résoudre. S'il est, en revanche, humble et honnête avec lui-même, il demandera quelle route prendre au passager (Maître ou Guide Intérieur). Celui-là sait où il va, il connaît la destination finale. Il pourra alors l'indiquer au Cocher, qui la prendra, à condition que ce dernier ait été capable de l'entendre. En effet, la Calèche fait parfois beaucoup de bruit en roulant, et il est nécessaire de s'arrêter pour pouvoir dialoguer avec le Maître ou Guide Intérieur. Ce sont les pauses, les retraites que nous faisons parfois pour nous retrouver, car il nous arrive de nous perdre.

Voilà une image simple mais qui représente vraiment bien ce qu'est le Chemin de Vie. Grâce à elle nous pouvons comprendre facilement de quelle façon les choses se passent dans notre vie et ce qui peut les faire déraper.


17 janvier 2010

Inspiré de Vigny

Les nuages couraient sur la lune enflammée

Les moustiques zigzaguaient énervés

Les lucioles clignotaient bizarrement

Des fourmis envahissaient mes mains,

Mes pieds et grimpaient en rangs serrés

Un énorme cafard grignotait mes méninges

Attaquait mon moral, disloquait mon être

Une coccinelle est passée, bête à bon dieu

Avec elle je me suis envolée vers d’autres cieux.

consigne: placer dans le texte la phrase :
"les nuages couraient sur la lune enflammée"

19 janvier 2010

Marie

Elle s’appelait marie
Fervente parpaillote
Fille de pasteur
Il ne lui restait que son chat
Elle était la sœur de François
L’ami fidèle de mes parents
Le parrain de ma sœur
Elle avait eu un chien
Genre berger à poil long
Qui la suivait partout
Dans sa vieille voiture
Il sentait trop mauvais
Elle ressemblait tellement
A son frère, tellement masculine
Qu’à sa fenêtre un jour
J’ai cru le revoir lui, ressuscité
Elle était bourrue, brute de forme
Avec un cœur gros comme ça
Elle avait travaillé dans le social
Elle avait des idées carrées
Un sale caractère, c’était sa force
Solitaire, unique en son genre
Elle avait tout donné  aux diaconesses
Même le cimetière familial à Gourguet
Dans lequel elle reposera avec ses parents
Elle disait souvent: c’est pas gâteau
Elle était à bout de souffle
Elle vivait seule avec son chat
La flamme a longtemps vacillé
Hier elle s’est éteinte
Je l’aimais bien

Publicité
Publicité
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 140 169
Bribes de mots
Albums Photos
Derniers commentaires
Publicité