Pensée
On ne se débarrasse pas d’une habitude
en la flanquant par la fenêtre ;
il faut lui faire descendre l’escalier
marche par marche.
Mark Twain
On ne se débarrasse pas d’une habitude
en la flanquant par la fenêtre ;
il faut lui faire descendre l’escalier
marche par marche.
Mark Twain
S’inquiéter n’enlève rien aux soucis de demain,
mais mine aujourd’hui de sa force.
L’espoir est comme un phare.
Il n’arrête pas la tourmente,
mais il guide toujours dans la bonne direction.
Accepter l' inacceptable
Accepter la réalité
même si on n' est pas d'accord
pour aller vers
une transformation
"Vous désirez sincèrement aider les autres à s’améliorer ? Évitez de les critiquer et ne leur faites pas la morale, mais commencez par vous améliorer vous-même. Seul votre exemple leur montrera qu’ils se trompent, qu’ils se conduisent mal. Oui, votre exemple. Car en travaillant sur soi-même, on travaille sur les autres : ils s’aperçoivent que vous possédez des qualités qu’ils ne possèdent pas, et c’est cela qui les améliore, parce qu’ils comprennent les avantages qu’ils auraient à vous imiter. Ceux qui s’occupent des faiblesses et des vices des autres, deviennent ternes, antipathiques, comme si ces défauts dont ils parlent finissaient par déteindre sur eux, et c’est lamentable, ils sont à plaindre.
Commencez donc par vous améliorer, et laissez les autres tranquilles. Acceptez-les, soyez patient, travaillez jour et nuit d’arrache-pied pour leur montrer tout ce que des efforts sincères permettent d’acquérir. Puisqu’ils ne le savent pas encore, ce n’est pas par des paroles que vous le leur apprendrez, mais par votre exemple."
Omraam Mikhaël Aïvanhov
J'aime bien cette idée....pas si facile à mettre en pratique....surtout quand les autres nous énervent...en fait les autres sont notre propre reflet, ce que nous n'aimons pas chez eux, nous l'avons en fait nous , parfois bien caché...ah l'inconscient....quelle force il a ...
Le cercle de la joie
Un jour, un paysan se présenta à la porte d'un couvent et frappa énergiquement. Quand le frère portier ouvrit la lourde porte de chêne, le paysan lui montra, souriant, une magnifique grappe de raisin.
« Cher frère portier, dit le paysan, sais-tu à qui je veux offrir cette grappe de raisin, la plus belle de ma vigne? »
— Sans doute au Père Abbé ou à quelque moine du couvent!
— Non, à toi!
— À moi? Le frère portier en devint tout rouge de joie.
— C'est vraiment à moi que tu veux la donner?
— Bien sûr, parce que tu m'as toujours reçu avec amitié et tu m'as aidé quand je te le demandais. Je voudrais que cette grappe de raisin t'apporte un peu de joie. »
Et la joie simple et franche qu'il voyait sur le visage du frère portier l'illuminait lui aussi tout autant. Le frère portier posa la grappe bien en vue et passa la matinée à l'admirer. C'était vraiment une grappe étonnante. Et puis, à un moment donné, lui vint une idée : « Pourquoi ne pas porter cette grappe au Père Abbé, pour lui donner un peu de joie à lui aussi? »
Il prit la grappe et l'apporta au Père Abbé. Celui-ci fut sincèrement heureux. Mais il se souvint qu'il y avait dans le couvent un vieux frère malade et il pensa : « Je vais lui apporter la grappe. Ça lui donnera un peu de réconfort. »
Ainsi la grappe émigra de nouveau. Mais elle ne resta pas longtemps dans la cellule du frère malade. Celui-ci, en effet, pensa que la grappe ferait aussi la joie du frère cuisinier, qui passait ses journées à suer derrière ses marmites, et il la lui fit parvenir.
Mais le frère cuisinier la remit au frère sacristain, afin qu'il ait, lui aussi, un peu de joie. Ce dernier la porta à un autre. Et ainsi de suite, jusqu'à ce que la grappe revint au frère portier, pour lui donner un peu de joie... Ainsi se referma le cercle. Un cercle de joie!
L'amour est l'unique trésor qui se multiplie quand on le divise; c'est l'unique cadeau qui augmente au fur et à mesure qu'on en soustrait une part.
Quand vous doutez,
choisissez toujours le plus doux, petit, discret.
Le plus simple.
"Moins" est "plus"
Source d’inspiration
Marcher pour le simple plaisir de marcher, librement et avec assurance, sans se presser.
On est présent à chaque pas que l’on effectue.
Si l’on veut parler, on s’arrête de marcher et on accorde toute son attention à la personne qui se trouve devant soi, au fait de parler et d’écouter….Arrêtons nous, regardons autour de nous et voyons comme la vie est belles : les arbres, les nuages blancs et l’infinité du ciel. Ecoutez les oiseaux, goûtez la légèreté de la brise. Marchons comme des êtres libres et sentons nos pas s’alléger au fur et à mesure que nous marchons. Apprécions chaque pas que nous faisons.
Thich Nhat Hanh