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Bribes de mots
29 janvier 2010

Cycles

Les choses de l'enfance ne meurent pas,
elles se répètent comme les saisons.

Eleanor farjeon

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23 janvier 2010

Récitation d'hiver de Jacques Prévert

Chanson pour les enfants l'hiver

Dans la nuit de l'hiver
Galope un grand homme blanc.
Galope un grand homme blanc.
C'est un bonhomme de neige
Avec une pipe en bois
Un grand bonhomme de neige
Poursuivi par le froid.
Il arrive au village
Il arrive au village
Voyant de la lumière, le voilà rassuré.
Dans une petite maison, il entre sans frapper.
Dans une petite maison, il entre sans frapper.
Et pour se réchauffer
Et pour se réchauffer
S'assoit sur le poêle rouge
Et d'un coup disparaît.
Ne laissant que sa pipe
au milieu d'une flaque d'eau
Ne laissant que sa pipe
et puis son vieux chapeau.

15 janvier 2010

Quelques vérités glanées sur la toile

1.    Dans la vie, tout ce qui n'avance pas recule.

2.    Apprenez des erreurs des autres, vous ne vivrez pas assez longtemps pour toutes les commettre vous-même.

3.    Se tromper est humain, le reconnaître est surhumain.

4.    Les seules personnes qui ne se trompent jamais sont celles qui ne font rien.

5.    C'est en trébuchant qu'on apprend à marcher.

6.    Celui qui ne s'est jamais trompé, n'a rien découvert.

7.    L'expérience, c'est le nom que chacun donne à ces erreurs.

8.    Exiger la confiance avant de l'avoir gagnée, c'est vouloir se faire payer pour un travail que l'on n’a pas fait.

9.    Sois lent à choisir tes ami(e)s et encore plus à t'en défaire.

10.  Si tu n'as pas ce que tu aimes, aimes ce que tu as!

11.  Si votre problème est une mauvaise mémoire, oubliez-le.

          Si vous êtes ce que vous faites
alors ne faites pas ce que vous n'êtes pas

2 janvier 2010

Les voeux de l'indien

Pour l'année qui se pointe, je ne te souhaite pas la Santé
car peut-être tu tomberas malade,
mais je souhaite que tu puisses trouver les remèdes qui pourraient te guérir.

Je ne te souhaite pas la Prospérité,
car tu vas peut-être avoir à subir tous genres de revers
mais je te souhaite, qu'en fin de compte, tu sois en mesure de surmonter l'adversité et de ne pas te laisser abattre.

Enfin, je ne te souhaite pas le Bonheur,
car sûrement, du fait que tu existes, tu vas avoir à affronter des problèmes de la Vie:
je te souhaite de les résoudre au fur et à mesure qu'ils se présentent et de continuer, en attendant que les problèmes se résolvent d'être heureux au jour le jour.

Et je te souhaite

La Sérénité d'accepter ce qui peut changer
Le Courage de changer ce qui peut l'être
La Sagesse de connaître la différence.
 

1 janvier 2010

Meilleurs voeux 2010

Je te souhaite de trouver

La sérénité d’accepter ce qui peut changer
Le courage de changer ce qui peut l’être
La sagesse de connaître la différence.

Que le soleil t’apporte chaque jour une énergie nouvelle

Que la lune renouvelle chaque nuit tes forces

Que la pluie lave tes soucis

Que les vents légers soufflent en toi une force nouvelle

Que tes pas soient en harmonie avec le monde

Et que chaque jour de ta vie tu puisses voir la beauté

Vœux indiens et apaches pour 2010

Bises de Clise

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28 décembre 2009

Chacun de nous est .... une étoile de mer

Un monsieur qui se promène avec son chien sur une plage voit au loin un jeune homme qui ramasse des choses par terre et les jette à la mer. Interpellé par ce qu'il voit il se rapproche du jeune homme et s'aperçoit que ce dernier ramasse des étoiles de mer et les remet à l'eau.

Le monsieur demande alors au jeune homme : " bonjour jeune homme, pourquoi jetez vous ces étoiles de mer à l'eau ?"

Le jeune homme répond : "si je ne le fait pas elles vont mourir " Le monsieur s'exclame alors : "mais il y en a des millions, ce que vous faites n'a aucune importance !"

Le jeune homme regarde alors l'étoile de mer qu'il a dans la main, la remet dans l'eau et répond : "pour celle ci cela a de l'importance !"


24 décembre 2009

trois messes basses ...souvenirs

Je vous souhaite un doux Noël,
Je vous propose un texte , extrait des trois messes basses d'Alphonse Daudet,
souvenir des récitations d'enfants
Le temps de Noël se conjugue pour moi avec les souvenirs d'enfance!

- Des dindes rôties... des carpes dorées... des truites grosses comme ça !...
Dehors, Ie vent de Ia nuit soufflait en éparpillant Ia musique des cloches, et, à mesure, des lumières apparaissaient dans l'ombre aux flancs du mont Ventoux, en haut duquel s'élevaient les vieilles tours de Trinquelage. C'étaient des familles de métayers qui venaient entendre Ia messe de minuit au château. Ils grimpaient Ia côte en chantant par groupes de cinq ou six, Ie père en avant, Ia lanterne en main, les femmes enveloppées dans leurs grandes mantes brunes où les enfants se serraient et s'abritaient. Malgré l'heure et Ie froid, tout ce brave peuple marchait allégrement, soutenu par l'idée qu'au sortir de Ia messe, iI y aurait, comme tous les ans, table mise pour eux en bas dans les cuisines. De temps en temps, sur Ia rude montée, Ie carrosse d'un seigneur précédé de porteurs de torches, faisait miroiter ses glaces au clair de lune, ou bien une mule trottait en agitant ses sonnailles, et à Ia lueur des falots enveloppés de brume, les métayers reconnaissaient leur bailli et Ie saluaient au passage :
- Bonsoir bonsoir maître Arnoton !
- Bonsoir, bonsoir, mes enfants !
La nuit était claire, les étoiles avivées de froid ; Ia bise piquait, et un fin grésil, glissant sur les vêtements sans les mouiller, gardait fidèlement Ia tradition des Noëls blancs de neige. Tout en haut de Ia côte, Ie château apparaissait comme Ie but, avec sa masse énorme de tours, de pignons, Ie clocher de sa chapelle montant dans Ie ciel bleu-noir, et une foule de petites lumières qui clignotaient, allaient, venaient, s'agitaient à toutes les fenêtres, et ressemblaient, sur Ie fond sombre du bâtiment, aux étincelles courant dans des cendres de papier brûlé... Passé Ie pont-levis et Ia poterne, iI fallait, pour se rendre à Ia chapelle, traverser Ia première cour, pleine de carrosses, de valets, de chaises à porteurs, toute claire du feu des torches et de Ia flambée des cuisines. On entendait Ie tintement des tournebroches, Ie fracas des casseroles, Ie choc des cristaux et de l'argenterie remués dans les apprêts d'un repas ; par là-dessus, une vapeur tiède, qui sentait bon les chairs rôties et les herbes fortes des sauces compliquées, faisait dire aux métayers, comme au chapelain, comme au bailli, comme à tout Ie monde :
- Quel bon réveillon nous allons faire après Ia messe !
Drelindin din !... Drelindin din !...

21 décembre 2009

Les larmes

"On associe généralement les larmes au chagrin, mais en réalité n’importe quelle émotion peut provoquer des larmes. Il y a des larmes de tristesse, de colère, de rage, de dépit, et il y a aussi des larmes de joie, d’émerveillement. La poésie, la peinture, la musique peuvent remplir nos yeux de larmes, mais également certaines conduites humaines quand elles sont particulièrement belles et nobles.
Dans la mesure où les larmes libèrent une certaine tension intérieure, quelle que soit leur origine, elles sont utiles. Mais évidemment les larmes de joie et d’émerveillement sont les plus bénéfiques. Alors, n’essuyez pas ces larmes d’un revers de main, recueillez-les dans un tissu propre et conservez-les soigneusement, car elles possèdent un grand pouvoir. Les larmes de dépit, de chagrin, de colère, laissez-les sécher, elles ne sont qu’un peu d’eau salée, mais conservez les larmes qui ont été arrachées aux profondeurs de votre âme."

Omraam Mikhaël Aïvanhov

19 décembre 2009

L'important pour toi c'est quoi ?

Un amérindien et son ami, en visite au centre ville de New York, marchaient près de Times Square dans Manhattan.
C'était durant l'heure du lunch et les rues étaient bondées de monde.
Les autos klaxonnaient de plus belle, les autos taxi faisaient crisser leurs pneus sur les coins de rue,
les sirènes hurlaient et les bruits de la ville rendaient presque sourd.
Soudain, l'amérindien dit, “j'entends un grillon.”
Son ami répondit, “Quoi? Tu dois être fou.
Tu ne pourrais jamais entendre un grillon au milieu de tout ce vacarme!”

“Non, j'en suis sûr,” dit l'amérindien, “j'entends un grillon.”
“C'est fou,” dit l'ami.

L'amérindien écouta attentivement pendant un moment,
puis traversa la rue jusqu'à un gros planteur en ciment où poussaient quelques arbustes.
Il regarda à l'intérieur des arbustes, sous les branches et avec assurance il localisa un petit grillon.
Son ami était complètement stupéfait.
“C'est incroyable,” dit son ami. “Tu dois avoir des oreilles super-humaines !”

“Non,” répondit l'amérindien. “Mes oreilles ne sont pas différentes des tiennes.
Tout ça dépend de ce que tu cherches à entendre.”
“Mais ça ne se peut pas !” dit l'ami. “Je ne pourrais jamais entendre un grillon dans ce bruit.”
“Oui, c'est vrai,” repliqua l'amérindien.
“Ça dépend de ce qui est vraiment important pour toi.
Tiens, laisse-moi te le démontrer.”

Il fouilla dans sa poche, en retira quelques sous et discrètement les jeta sur le trottoir.
Et alors, malgré le bruit de la rue bondée de monde retentissant encore dans leurs oreilles,
ils remarquèrent que toutes les têtes, jusqu'à une distance de sept mêtres d'eux,
se tournaient et regardaient pour voir si la monnaie qui tintait sur le pavement était la leur
“Tu vois ce que je veux dire?” demanda l'amérindien. “Tout ça dépend de ce qui est important pour toi.”

Source : les passeurs

10 décembre 2009

Pensée

Notre corps est la barque
qui nous portera jusqu'à l'autre rive
de l'océan de la vie.
Il faut en prendre soin



Swami Vivekananda

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