Je n'y avais pas pensé!
Ce matin, reprise du travail....
Je m'inquiète auprès d'un jeune qui boîte un peu
il me répond, c'est pas moi qui boîte
c'est ma chaussure !
Me voila vite replongée dans le bain....;)))
Ce matin, reprise du travail....
Je m'inquiète auprès d'un jeune qui boîte un peu
il me répond, c'est pas moi qui boîte
c'est ma chaussure !
Me voila vite replongée dans le bain....;)))
Je me demande si le plus difficile
c'est de vieillir dans son corps, dans sa tête
ou si ce n'est pas de voir partir
un à un, une à une toutes ses belles amitiés
tous ses proches, tous ceux qui nous ont donné
des instants de bonheur, des fou-rire
partagé les moments délicats,
accompagnés sur les chemins de la vie,
des vacances, des anniversaires….
de voir ceux du passé encore présents
se retirer sur la pointe des pieds
et nous laisser seuls avec nous-mêmes
C'est une erreur de renoncer.
Les choses tombent d'elles-mêmes.
Elles s'éloignent de vous.
Svâmi Prajnânpad
Marche sur ton propre chemin,
tout le reste est égarement.
Gitta Mallasz
Nul ne peut atteindre l’aube
sans passer par le chemin de la nuit.
Khalil Gibran
"Si vous pensez que vous êtes trop petit
pour pouvoir changer quelque chose,
essayez de dormir avec un moustique ! "
Le Dalaï-lama
Il y a 10 ans Vincent avait écrit un très beau texte en hommage à son grand père,
extraits:
...Tu nous as tous marqués par tes extraordinaires qualités de modestie, d'humilité, de gentillesse et de dévouement....mais tu nous as surtout armés par l'affection que tu nous portais et tu as déposé en chacun de nos coeurs...une graine d'amour qui continuera à s'épanouir toute notre vie....ainsi nous pourrons jusqu'à la fin de nos jours nous tourner vers la chaleur et les couleurs de cette fleur, nous rappelant que tu es l'une de nos principales racines, irrigant éternellement nos coeurs et nos corps d'une séve gorgée de respect et d'amour.
10 ans plus tard , je relis ce texte avec autant d'émotion tant il est vrai.
Le monde entier aspire à la liberté, et pourtant
chaque créature est amoureuse de ses chaînes.
tel est le premier paradoxe et l'inextricable
noeud de notre nature.
Sri Aurobindo
Un paysan avec 3 de ses ânes se rendait au marché pour vendre sa récolte.
La ville était loin et il lui faudrait plusieurs jours pour l'atteindre.
Le premier soir, il s'arrête pour bivouaquer non loin de la maison d'un vieil ermite.
Au moment d'attacher son dernier âne, il s'aperçoit qu'il lui manque une corde.
Si je n'attache pas mon âne se dit-il demain, il se sera sauvé dans la montagne!
Il monte sur son âne après avoir solidement attaché les 2 autres et prend la direction
de la maison du vieil ermite.
Arrivé, il demande au vieil homme s'il n'aurait pas une corde à lui donner.
Le vieillard avait depuis longtemps fait vœux de pauvreté et n'avait pas la moindre corde, cependant, il s'adressa au paysan et lui dit:
"Retourne à ton campement et comme chaque jour, fais le geste de passer une corde autour du cou de ton âne et n'oublie pas de feindre de l'attacher à un arbre."
Perdu pour perdu, le paysan fit exactement ce que lui avait conseillé le vieil homme.
Le lendemain dès qu'il fût réveillé, le premier regard du paysan fût pour son âne.
Il était toujours là!
Après avoir chargé les 3 baudets, il décide de se mettre en route, mais là, il eut beau faire, tirer sur son âne, le pousser, rien n'y fit. L'âne refusait de bouger.
Désespéré, il retourne voir l'Ermite et lui raconte sa mésaventure.
"As-tu pensé à enlever la corde?" lui demanda-t-il.
"Mais il n'y a pas de corde!" répondit le paysan.
"Pour toi oui mais pour l'âne..."
Le paysan retourne au campement et d'un ample mouvement, il mime le geste de retirer la corde.
L'âne le suit sans aucune résistance.
Ne nous moquons pas de cet âne. Ne sommes-nous pas, nous aussi, esclaves de nos habitudes, pire, esclaves de nos habitudes mentales?
Demandez-vous quelle corde invisible m' empêche de progresser...
Si la vie n’est qu’un passage,
dans ce passage au moins semons des fleurs.
Montaigne
Clo est partie, avec son Fernand,
ils avaient semé beaucoup de fleurs
dans nos coeurs d'enfants
"La sensation de fatigue dépend beaucoup de l’état intérieur. Travaillez pendant des heures avec amour et vous n’éprouverez aucune fatigue ; mais travaillez à peine quelques minutes dans le mécontentement, la colère, la révolte, tout va se bloquer en vous et vous vous sentirez épuisé.
Il faut comprendre l’efficacité, la puissance de l’amour. Tout ce que vous faites, efforcez-vous de le faire avec amour, ou alors ne le faites pas ! Ce que vous faites sans amour vous use, vous mine, et ne vous étonnez donc pas ensuite de n’avoir plus de ressort. Travailler sans amour, c’est comme si vous introduisiez du poison en vous. Vous direz qu’il y a des travaux que vous n’aimez pas, mais que vous avez tout de même l’obligation de faire par devoir. D’accord, vous y êtes obligé, mais trouvez au moins une raison de les faire avec amour. Cela ne dépend que de vous."
Omraam Mikhaël Aïvanhov