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Bribes de mots

13 avril 2009

Et pourquoi pas une grenouille?

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10 avril 2009

Nullipare de Jane Sautière

Je voudrais interroger l’ahurissant mystère de ne pas avoir d’enfant comme on interroge l’ahurissant mystère d’en avoir. »
Lors d’une mammographie, la narratrice entend le radiologue la classer dans la catégorie des « nullipares » (femmes n’ayant jamais enfanté). Point de départ d’un questionnement plus large, ce choc lexical conduit l’auteur à une exploration de soi. Dans « nullipare », il y a aussi « nulle part ». C’est pour elle l’occasion de sonder sa part nomade, ses perpétuels déménagements, choisis ou subis, qui révèlent d’autres fêlures. Sensible au regard porté par la société sur « l’ahurissant mystère de ne pas avoir d’enfant », elle reconstitue le puzzle, à la fois tragique et drôle, de ce destin. L’écriture devient l’exercice d’une liberté chargée d’émotions où peuvent se résoudre les tensions grâce à la distance juste d’un regard d’écrivain.

À la fois douce et brutale, intime et distanciée, cérébrale et charnelle, la langue de Jane Sautière s’attaque à l’un des derniers tabous de la condition féminine contemporaine. ( verticale ouvrage)


J'ai vraiment aimé ce livre, plein d'interrogations, qui amène à réfléchir aux choix conscients ou inconscients de nos vies, tellement bien écrit, tellement vrai...


8 avril 2009

Fil de soi

Au bout du fil
J’enfile l’aiguille
De fil en aiguille
Je couds et je découds
L’étoffe de ma vie

Je me faufile
Le temps s’enfuit
Les jours et les nuits défilent
Au fil du temps
De mes défis
Je me méfie
Du fil de mes pensées
Des pleurs incertains
Au fil de mes rêves
Des rires cristallins

Je raccommode les déchirures
J’oscille, je vacille, fragile
Je file en douceur
Malhabile, le fil de soi

consigne: au bout du fil

7 avril 2009

Poissons de Pâques en habits de fête

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4 avril 2009

Sur ma mère de Tahar Ben Jelloun

Dans 'Sur ma mère' Tahar Ben Jelloun trace le portrait intense et brûlant des dernières années de la vie de sa mère, années pendant lesquelles elle fut atteinte d'une maladie de la mémoire qui la fait vivre dans les souvenirs de son passé plutôt que dans le présent. Tahar Ben Jelloun raconte comment il est témoin, à sa plus grande stupéfaction, de l'étrange recomposition à laquelle sa mère se livre soudain, au gré de leurs conversations, de tout un pan de l'histoire familiale qu'elle n'avait transmis à personne et qu'il ignorait donc complètement. Devant lui, alors que sa mère s'achemine vers les dernières heures de sa vie, un Maroc oublié resurgit, entre Fès et Tanger, mariages traditionnels et confidences des Hammam... à travers les mots d'une femme qui resta toute sa vie illettrée et qui jamais ne parla d'elle.

Superbe, j'ai adoré , à lire absolument!

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3 avril 2009

Pensée

Il y a beaucoup de gens dont la facilité de parler
ne vient que de l’impuissance de se taire

Cyrano de Bergerac

31 mars 2009

5 couleurs ou plus

J’ai écrit au tableau noir
Le blanc de mes oublis
J’ai écrit en vert
Le fol espoir
De ne jamais
Jamais
Non jamais
Retrouver la grisaille
Des fantômes de mes nuits
Les peurs bleues de mon enfance
Les peurs éternelles
Le rouge des colères enfouies
De mon adolescence
J’ai écrit au tableau noir
Le fol d’espoir….
J’ai écrit en vers…

Consigne: 5 couleurs ou plus

30 mars 2009

Couleurs

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28 mars 2009

Pensée

"On peut très bien comprendre que chacun se prononce d’après ses facultés, ses capacités, son tempérament, ses besoins : c’est normal. Mais si quelqu’un dit : « Je crois ceci, je ne crois pas cela » avec la certitude d’énoncer une vérité éternelle, là il fait preuve de présomption. Comme s’il suffisait qu’il croie ou ne croie pas pour que ce soit la vérité ! La question n’est pas de croire ou de ne pas croire. La question est d’étudier, de vérifier. C’est ainsi qu’on se rapproche de la vérité.
Celui qui dit : « je crois », a-t-il analysé pourquoi il croit ? Qu’est-ce qui a inspiré cette croyance ? Combien de choses les humains croient parce que ça les arrange, parce que ça leur plaît, parce que ça correspond à leurs besoins, à leur sensibilité, à leurs intérêts !… Eh bien, qu’ils croient tout ce qu’ils veulent, ils en ont le droit, mais qu’ils ne s’imaginent pas que ce qu’ils croient est la vérité absolue, et surtout qu’ils cessent de vouloir l’imposer aux autres !"

Omraam Mikhaël Aïvanhov

ceci rejoint l'accord Toltèque: ne pas faire de suppositions...que j'aime bien!

26 mars 2009

Anniversaire ou destin

T’es née le jour de la mort de ta sœur

Hasard, destin, fatalité ….
Tu aimerais être coccinelle, petite bête à bon dieu
Pour aller lui dire que tu l’aurais bien aimée, elle
Mais que les bougies, c’est sur ton gâteau
D’anniversaire que tu les veux

Tu tapes du pied dans tes petites bottes rouges
Tu éclabousses de vie l’absence

Tu tempêtes, tu rouspètes
Pour te faire ta place
Pour vivre ta vie
A toi.

Consigne: le thème anniversaire avec  les mots bottes, tempête,coccinelle,bougies

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