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Bribes de mots

17 janvier 2010

Inspiré de Vigny

Les nuages couraient sur la lune enflammée

Les moustiques zigzaguaient énervés

Les lucioles clignotaient bizarrement

Des fourmis envahissaient mes mains,

Mes pieds et grimpaient en rangs serrés

Un énorme cafard grignotait mes méninges

Attaquait mon moral, disloquait mon être

Une coccinelle est passée, bête à bon dieu

Avec elle je me suis envolée vers d’autres cieux.

consigne: placer dans le texte la phrase :
"les nuages couraient sur la lune enflammée"

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15 janvier 2010

Quelques vérités glanées sur la toile

1.    Dans la vie, tout ce qui n'avance pas recule.

2.    Apprenez des erreurs des autres, vous ne vivrez pas assez longtemps pour toutes les commettre vous-même.

3.    Se tromper est humain, le reconnaître est surhumain.

4.    Les seules personnes qui ne se trompent jamais sont celles qui ne font rien.

5.    C'est en trébuchant qu'on apprend à marcher.

6.    Celui qui ne s'est jamais trompé, n'a rien découvert.

7.    L'expérience, c'est le nom que chacun donne à ces erreurs.

8.    Exiger la confiance avant de l'avoir gagnée, c'est vouloir se faire payer pour un travail que l'on n’a pas fait.

9.    Sois lent à choisir tes ami(e)s et encore plus à t'en défaire.

10.  Si tu n'as pas ce que tu aimes, aimes ce que tu as!

11.  Si votre problème est une mauvaise mémoire, oubliez-le.

          Si vous êtes ce que vous faites
alors ne faites pas ce que vous n'êtes pas

11 janvier 2010

Boulevard de la croix rousse

Boulevard de la croix rousse

Dix janvier deux mille dix

Troisième étage sur deux niveaux

Quatre générations

Pas un seul absent

Chacun a fait la route

Bravé la neige

Les TGV en retard

Les autoroutes blanches

Les angoisses

Pour le simple plaisir

De se retrouver

Ensemble

C’est tout
Merci !

8 janvier 2010

chemin de vie ou la calèche

Ce texte est un peu long mais je l'aime beaucoup, découvert il y a une vingtaine d'années à un cours de yoga, je le retrouve avec plaisir et vous le fais partager

Le Chemin de Vie est une sorte de fil conducteur que tout être humain suit au cours de son existence. Nous pouvons le comparer au scénario d'un film ou au «livre de route» des ralliements actuels. Nous avançons sur ce chemin en utilisant un véhicule particulier qui est notre corps physique. Les Orientaux nous proposent une image fort intéressante pour ce véhicule et ce Chemin de Vie. Nous sommes, disent-ils, comme une charrette, une Calèche qui représente notre corps physique et qui circule sur un chemin qui symbolise la vie ou plutôt le Chemin de Vie. Voyons jusqu'où nous pouvons pousser cette image?

Le chemin sur lequel circule la Calèche est un chemin de terre. Comme tous les chemins de terre, il comporte des « nids-de-poule », des trous, des bosses, des cailloux, des ornières et des fossés de chaque côté. Les trous, les bosses et les cailloux sont les difficultés, les heurts de la vie. Les ornières sont les schémas déjà existants que nous reprenons des autres et que nous reproduisons. Les fossés, plus ou moins profonds, représentent les règles. Les limites à ne pas franchir sous peine d'accident. Ce chemin comporte parfois des virages qui empêchent la visibilité ou traverse parfois des zones de brume ou des orages. Ce sont toutes ces phases de notre vie où nous sommes « dans le brouillard », où nous avons de la difficulté à voir clair ou à pouvoir anticiper car nous ne pouvons « voir devant ».

Cette Calèche est tirée par deux chevaux, un blanc (Yang) qui est à gauche et un noir (Yin) qui est à droite. Ces chevaux symbolisent les émotions, ce qui nous montre à quel point ce sont elles qui nous tirent, voire nous mènent dans la vie. La Calèche est conduite par un Cocher qui représente notre mental, notre Conscient. Elle possède quatre roues, deux devant (les bras), qui donnent la direction ou plutôt impliquent la direction donnée par le Cocher aux chevaux, et deux derrière (les jambes), qui portent et transportent la charge (elles sont d'ailleurs toujours plus grosses que celles de l'avant). À l'intérieur de la Calèche, il y a un passager que l'on ne voit pas. Il s'agit du Maître ou Guide Intérieur de chacun de nous, de notre Non-Conscient, de notre Conscience Holographique. Les chrétiens l'appellent« l'Ange Gardien ».


Notre Calèche personnelle avance donc sur le chemin de la vie, dirigée en apparence par le Cocher. Je dis bien en apparence, car si c'est bien lui qui la conduit, c'est en fait le passager qui a donné la destination... Le Cocher, qui est notre mental, conduit donc la Calèche. De la qualité de sa vigilance et de sa conduite (ferme mais en douceur) vont dépendre la qualité et confort du voyage (existence). S'il brutalise les chevaux (émotions) et les brime, ceux-ci vont s'énerver ou s'emballer à un moment donné et risquer de conduire la Calèche à l'accident, de la même manière que nos émotions nous conduisent parfois à des actes irraisonnables voire dangereux. Si le conducteur est trop relâché, s'il manque de vigilance, l'attelage va passer dans les ornières (reproduction des schémas parentaux, par exemple) et nous suivrons alors les traces des autres, en courant le risque d'aller dans le fossé comme eux s'ils l'ont fait. De la même façon, s'il n'est pas vigilant, le Cocher ne saura pas non plus éviter les trous, les bosses, les nids-de-poule (coups, erreurs de la vie) et le voyage sera très inconfortable pour la Calèche, le Cocher et le Maître ou Guide Intérieur.

S'il s'endort ou ne tient pas les rênes, ce seront alors les chevaux (émotions) qui dirigeront la Calèche. Si le cheval noir est le plus fort (parce que nous l'avons mieux nourri...), la Calèche va tirer à droite et être guidée par les images émo­tives maternelles. Si c'est le cheval blanc dont nous nous occupons le mieux et qui domine, la Calèche va tirer à gauche, vers les représentations émotives paternelles. Lorsque le Cocher conduit trop vite, force trop, comme nous le faisons parfois, ou si les chevaux s'emballent, c'est le fossé, l'acci­dent qui arrête plus ou moins violemment tout l'attelage et avec plus ou moins de dégâts (accidents et traumatismes).


Parfois, une roue ou une pièce de la Calèche lâche (maladie), soit parce qu'elle était fragile, soit parce que la Calèche est passée sur trop de bosses et dans trop de trous (accumulation de comportements, d'attitudes inadéquates). Il faut alors réparer et selon la gravité de la panne, nous allons pouvoir le faire nous-mêmes (repos, cicatrisation), devoir faire appel à un dépanneur (médecine douce, naturelle) ou si c'est encore plus grave à un réparateur (médecine moderne). Mais il sera de toute façon important de ne pas nous contenter de changer la pièce. Il sera essentiel de réfléchir à la conduite du Cocher et à la manière avec laquelle nous allons chan­ger nos comportements, nos attitudes face à la vie, si nous ne voulons pas que « la panne» se reproduise.

Parfois, la Calèche traverse des zones de faible visibilité, c'est-à-dire que nous ne voyons pas vraiment où nous allons. Il peut s'agir d'un simple virage. Nous pouvons le voir et nous préparer à son arrivée en anticipant. Nous devons alors ralentir, repérer dans quel sens tourne le chemin et suivre la courbe en tenant bien les chevaux (maîtriser par exemple nos émotions quand nous vivons une phase de changement voulue ou subie). Lorsqu'il s'agit de brume ou d'orage, il nous est alors plus difficile de conduire notre Calèche. Nous devons « naviguer à vue », en ralentissant l'allure et en nous fiant aux bords immédiats du chemin. Nous devons dans cette phase faire une confiance totale, pour ne pas dire « aveugle », dans le Chemin de Vie (lois naturelles, règles de la Tradition, Foi, etc.) et le Maître ou Guide Intérieur (Non-Conscient) qui a choisi ce chemin. Ce sont les phases de la vie où nous sommes perdus « dans le brouillard» et où nous ne savons plus où nous allons. Dans ces moments-là, nous ne pouvons plus faire autrement que laisser la vie nous montrer la route.


Parfois, enfin, nous arrivons à des carrefours, des bifurcations. Si le chemin n'est pas balisé, nous ne savons pas quelle direction prendre. Le Cocher (le mental, l'intellect) peut prendre une direction au hasard. Le risque de se tromper, voire de se perdre, est grand. Plus le Cocher est sûr de lui, persuadé de tout connaître et de tout maîtriser, plus il va vouloir et penser savoir quelle direction choisir et plus le risque sera important. Nous sommes alors dans le règne de la «technocratie rationaliste », où la raison et l'intellect croient pouvoir tout résoudre. S'il est, en revanche, humble et honnête avec lui-même, il demandera quelle route prendre au passager (Maître ou Guide Intérieur). Celui-là sait où il va, il connaît la destination finale. Il pourra alors l'indiquer au Cocher, qui la prendra, à condition que ce dernier ait été capable de l'entendre. En effet, la Calèche fait parfois beaucoup de bruit en roulant, et il est nécessaire de s'arrêter pour pouvoir dialoguer avec le Maître ou Guide Intérieur. Ce sont les pauses, les retraites que nous faisons parfois pour nous retrouver, car il nous arrive de nous perdre.

Voilà une image simple mais qui représente vraiment bien ce qu'est le Chemin de Vie. Grâce à elle nous pouvons comprendre facilement de quelle façon les choses se passent dans notre vie et ce qui peut les faire déraper.


7 janvier 2010

Résolutions

Cette année je ne prendrai
Qu’une seule résolution
Celle de ne pas en prendre
Pourquoi me mentir
Pourquoi me leurrer
Des il faudrait que
Sans lendemains
Je connais trop
Cette année je serai
Opportuniste
Je capterai à l’arrache
L’instant propice
A l’infime changement
Qui amorcera
Goutte à goutte
En cascade cristalline
La lente révolution
Intérieure

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5 janvier 2010

Tâches de ne pas devenir folle de Vanessa Schneider

Après 'La Mère de ma mère, Vanessa Schneider explore l'étrange destinée de la mère de son père. Pour ses enfants, elle était Marthe, pilier central d'une famille de fous, qui garde de son enfance en Roumanie un caractère indépendant et détaché. Marthe et son beau mari homosexuel, dont elle tentera de se consoler auprès d'amants successifs, père de ses nombreux enfants.

destins de femmes, histoire de lignées, j'ai adoré !

4 janvier 2010

Symbolique de la bruyère

parce que les statistiques me disent que vous êtes nombreux à venir consulter les symboliques.......

les bruits d'hier. A perdu les vraies richesses; Nostalgie d'un passé devenu mythique qui laisse un goût de cendres. voudrait revenir au temps de l'ancienne lune, temps de ses origines, quand tout baignait dans une atmosphère sacrée ou sacralisée par le souvenir ( selon B.Vial)

2 janvier 2010

Les voeux de l'indien

Pour l'année qui se pointe, je ne te souhaite pas la Santé
car peut-être tu tomberas malade,
mais je souhaite que tu puisses trouver les remèdes qui pourraient te guérir.

Je ne te souhaite pas la Prospérité,
car tu vas peut-être avoir à subir tous genres de revers
mais je te souhaite, qu'en fin de compte, tu sois en mesure de surmonter l'adversité et de ne pas te laisser abattre.

Enfin, je ne te souhaite pas le Bonheur,
car sûrement, du fait que tu existes, tu vas avoir à affronter des problèmes de la Vie:
je te souhaite de les résoudre au fur et à mesure qu'ils se présentent et de continuer, en attendant que les problèmes se résolvent d'être heureux au jour le jour.

Et je te souhaite

La Sérénité d'accepter ce qui peut changer
Le Courage de changer ce qui peut l'être
La Sagesse de connaître la différence.
 

1 janvier 2010

Meilleurs voeux 2010

Je te souhaite de trouver

La sérénité d’accepter ce qui peut changer
Le courage de changer ce qui peut l’être
La sagesse de connaître la différence.

Que le soleil t’apporte chaque jour une énergie nouvelle

Que la lune renouvelle chaque nuit tes forces

Que la pluie lave tes soucis

Que les vents légers soufflent en toi une force nouvelle

Que tes pas soient en harmonie avec le monde

Et que chaque jour de ta vie tu puisses voir la beauté

Vœux indiens et apaches pour 2010

Bises de Clise

28 décembre 2009

Chacun de nous est .... une étoile de mer

Un monsieur qui se promène avec son chien sur une plage voit au loin un jeune homme qui ramasse des choses par terre et les jette à la mer. Interpellé par ce qu'il voit il se rapproche du jeune homme et s'aperçoit que ce dernier ramasse des étoiles de mer et les remet à l'eau.

Le monsieur demande alors au jeune homme : " bonjour jeune homme, pourquoi jetez vous ces étoiles de mer à l'eau ?"

Le jeune homme répond : "si je ne le fait pas elles vont mourir " Le monsieur s'exclame alors : "mais il y en a des millions, ce que vous faites n'a aucune importance !"

Le jeune homme regarde alors l'étoile de mer qu'il a dans la main, la remet dans l'eau et répond : "pour celle ci cela a de l'importance !"


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