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Bribes de mots

19 mars 2010

Le feu

Déclaration d’ado….

Du matin, je pétais le feu
Ca pétaradait dans ma tête
Tu m’aurais vu…
Tout feu, tout flamme
Intenable, les neurones en bataille
Je tenais pas en place
Juste question de mettre un peu
le feu aux poudres
J’ai branché la musique à fond
T’aurais vu mes vieux ….
Comme d’hab furieux
J’aime jouer avec le feu
Mettre la maison à feu et à sang
Sans raison apparente
Juste pour le plaisir
De faire des étincelles
De brouiller les lignes
A la vitesse des météorites
Je brûle d’envie de tout faire
Exploser dans ma vie à la con
De griller les étapes
J’suis un 14 juillet permanent
Moi j’ai le feu sacré
Tu verras….
J’suis un mec super top

Consigne : le feu

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18 mars 2010

les chaînes

Le monde entier aspire à la liberté, et pourtant
chaque créature est amoureuse de ses chaînes.
tel est le premier paradoxe et l'inextricable
noeud de notre nature.

Sri Aurobindo

17 mars 2010

Une succulente au fond de l'impasse d'Anne Bragance

Lorsque François, agent immobilier, la quarantaine,
en rupture de ban avec sa femme et ses enfants, rencontre Emma -
La Succulente -, il découvre un personnage hors du commun.
Certes, il n'a pas l'habitude de fréquenter les prostituées.
Mais entre eux, la relation n'a rien de charnel : en partageant
leurs solitudes, François et Emma deviennent amis.
C'est ainsi que François découvre qu'Emma,
avant d'être prostituée, a été championne de natation !
Lorsque La Succulente disparaît du jour au lendemain
sans laisser d'adresse, François est sous le choc.
Peut-être la maison de sa mystérieuse amie lui livrera-t-elle quelques nouveaux secrets.

J'aime l'écriture d'Anne Bragance, sans concessions, belle émotion de personnages atypiques, un peu mystérieux, une amitié veritable... j'ai passé un bon moment même si ce n'est pas le meilleur livre que j'ai lu de cette auteure.

13 mars 2010

Hommage

Ils quittent un à un le pays
Pourtant comment peut-on s'imaginer
Que l'heure du départ a sonné?
Faut-il pleuré?
Je n'ai pas le coeur à le dire
On ne voit pas le temps passer
Sacré Jean Ferrat
Que serons nous sans toi
Un sanglot de la déconvenue
Et pourtant je vous le dis
Que le bonheur existe
A fredonner tes mélodies

12 mars 2010

Mon enfant de Berlin d'Anne Wiazemski

En septembre 1944, Claire, ambulancière à la Croix-Rouge française, se trouve à Béziers avec sa section, alors que dans quelques mois elle suivra les ramées alliées dans un Berlin en ruine. Elle a 27 ans, c'est une très jolie jeune femme avec de grands yeux sombres et de hautes pommettes slaves. Au volant de son ambulance, quand elle transporte des blessés vers des hôpitaux surchargés, elle se sent pour le première fois de sa jeune vie, vivre. Mais à travers la guerre, sans même le savoir, c'est l'amour que Claire cherche. Elle va le trouver à Berlin.

J'ai toujours aimé l'écriture d'Anne Wiazemski, sa douceur, ses mots.... ce livre est à la hauteur des autres, sans mélo mais avec des sentiments  justes

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10 mars 2010

Il a plu

Il a plu une goutte de rosée
Roulé sur ma joue
Une larme amère

consigne: incipit: il a plu

10 mars 2010

détails Taj mahal pour Mamaji

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8 mars 2010

Prisonniers de nos habitudes et rituels

Un paysan avec 3 de ses ânes se rendait au marché pour vendre sa récolte.
La ville était loin et il lui faudrait plusieurs jours pour l'atteindre.
Le premier soir, il s'arrête pour bivouaquer non loin de la maison d'un vieil ermite.

Au moment d'attacher son dernier âne, il s'aperçoit qu'il lui manque une corde.
Si je n'attache pas mon âne se dit-il demain, il se sera sauvé dans la montagne!

Il monte sur son âne après avoir solidement attaché les 2 autres et prend la direction
de la maison du vieil ermite.

Arrivé, il demande au vieil homme s'il n'aurait pas une corde à lui donner.
Le vieillard avait depuis longtemps  fait vœux de pauvreté et n'avait pas la moindre corde, cependant, il s'adressa au paysan et lui dit: 
"Retourne à ton campement et comme chaque jour, fais le geste de passer une corde autour du cou de ton âne et n'oublie pas de feindre de l'attacher à un arbre."

Perdu pour perdu, le paysan fit exactement ce que lui avait conseillé le vieil homme.
Le lendemain dès qu'il fût réveillé, le premier regard du paysan fût pour son âne.
Il était toujours là!

Après avoir chargé les 3 baudets, il décide de se mettre en route, mais là, il eut beau faire, tirer sur son âne, le pousser, rien n'y fit. L'âne refusait de bouger.

Désespéré, il retourne voir l'Ermite et lui raconte sa mésaventure.

"As-tu pensé à enlever la corde?" lui demanda-t-il.
"Mais il n'y a pas de corde!" répondit le paysan.
"Pour toi oui mais pour l'âne..."

Le paysan retourne au campement et d'un ample mouvement, il mime le geste de retirer la corde.
L'âne le suit sans aucune résistance.

  Ne nous moquons pas de cet âne. Ne sommes-nous pas, nous aussi, esclaves de nos habitudes, pire, esclaves de nos habitudes mentales?

Demandez-vous quelle corde invisible m' empêche de progresser...

7 mars 2010

Proverbes indiens

Le monde flatte l'éléphant
et piétine la fourmi.

Nous ne voulons pas de richesses.
Nous voulons la paix et l'amour.

On peut fendre un rocher.
On ne peut pas toujours attendrir un coeur.


6 mars 2010

Chapeau les filles !

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