J'ai lu et j'ai aimé en 2023
voici un résumé de mes lectures préférées depuis le début de l'année!
Les extraordinaires de Julien Sandrel
Les nageurs de la nuit de Tomasz Jedrowski
L'ancien calendrier d'un amour
Désenchantées de Marie Vareille
Minuit dans la nuit des songes de René Frégni
Mauvais coûts de Jacky Schartzmann
Et le jour pour eux sera comme la nuit de'Ariane Bois
Une vie heureuse de Ginette Kolinka
Le défi Jérusalem d'Eric Emmanuel Schmitt
Avers de Jean Marie Gustave Leclézio
Il n'y aura pas sang versé de Maryline Desbiolles
Mes fragiles de Jérôme Garcin
Beyrouth sur seine de Sabyl Ghoussoub
Fille en colère sur un banc de pierre de Véronique Ovaldé
J'ai lu et j'ai aimé !
Viola Ardone le choix
Lola Lafon Quand tu écouteras cette chanson
Akira Mizubayashi Reine de coeur
Monica Helfer Héritages
Karine Tuil La décision
Michel Moutot Route one
Chris Whitaker Duchess
Beata Umubyeyi Mairesse Consolée
Carole Fives Quelque chose à te dire
Marie-Sabine Roger Dernière visite à ma mère
Amélie Nothomb le livre des soeurs
L'ïle aux arbres disparus de Elif Shafak
Le cri, interminable, est celui que lance aujourd'hui une adolescente de seize ans, prénommée Ada, en plein cours d'histoire dans un lycée londonien.
Le rêve est celui d'une renaissance.
Entre les deux a lieu la rencontre du Grec Kostas Kazantzakis et d'une jeune fille turque, Defne, en 1974, dans une Chypre déchirée par la guerre civile.
Elif Shafak crée des personnages débordant d'humanité mais aussi de failles et de doutes, d'élans de générosité et de contradictions, pour conter l'histoire d'un amour interdit dans un climat de haine et de violence qui balaie tout sur son passage. Sa prose puissante convoque un savant mélange de merveilleux, de rêve, d'amour, de chagrin et d'imagination pour libérer la parole des générations précédentes, souvent réduites au silence. Pour en savoir plus Cliquez ICI
J'ai hâte de lire ses livres précédents et les prochains !
J'ai lu et j'ai aimé en mai
Consolations de Christophe André
Les Silences d'Ogliano de Eléna Piacentini
Artifices de Claire BerestLes flammes de pierre de Jean Christophe Rufin
Conter les moutons de Marc Dugain
Ecoute la pluie tomber d'Olivia Ruiz
Mama Roma de Luca Di Fulvio
Rester serein quand tout s'effondre de Fabrice Midal
Il nous arrive à tous de traverser des épreuves, de perdre nos points de repère et d’être désorientés. Nous sommes parfois tellement blessés que nous ne parvenons plus à voir les possibles qui sont pourtant encore là et s’offrent à nous. Dans ce nouvel ouvrage, Fabrice Midal nous invite à nous arrêter un instant pour appréhender la peur qui nous habite, en parler et apprendre à l’accepter. Certes, on ne peut ni tout savoir ni tout prévoir, mais chacun a le pouvoir de considérer les moments de crise comme des occasions de reconstruire. Plutôt que de nous laisser ronger par la crainte et la culpabilité, l’auteur nous enjoint de puiser dans nos forces intérieures et d’agir concrètement dans le présent. Il nous donne les clés pour apprendre à soigner nos blessures et trouver l’énergie de faire face aux aléas de la vie. Ce livre est celui de la guérison et de l’espoir. (Babelio)
Un livre très intéressant pour ceux et celles qui se posent quelques questions en ce temps agités !
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Requiem Berlin
Berlin, 1932. Wilhelm Furtwängler est l’un des plus grands chefs d’orchestre allemands. Il dirige l’orchestre philarmonique de Berlin et éblouit son public par son génie virtuose.
1934. Hitler est chancelier et détient tous les pouvoirs, c’est le début des années noires. Le nazisme s’impose et dépossède les artistes de leur art. Les juifs sont exclus de l’orchestre et contraints de s’exiler. La culture devient politique. La musique devient un véritable instrument de propagande. Continuer d’exercer son art mais en se soumettant au régime du III Reich ou fuir l’Allemagne ? Pour Furtwängler, ce choix n’a pas de raison d’être. Mais l'art est-il véritablement au-dessus de la politique ? La passivité étant souvent interprétée comme un signe d’acceptation et de collaboration, cela pourrait bien lui porter préjudice…
En parallèle, Rodolphe Meister, fils d’une célèbre cantatrice ayant chanté dans les opéras les plus prisés de la capitale, contemple et vit les évènements avec son regard de jeune garçon. La guerre se profile au loin mais lui ne comprend pas. De ses yeux naïfs, il voit tous ces SS qui ont fière allure dans leurs uniformes. Il ne perçoit pas le mal. Lui, ce qu’il veut, c’est devenir le plus grand chef d’orchestre que l’Allemagne n’ait jamais connu. Il a ce don en lui. Les notes lui parlent, le transportent. La musique l’anime depuis toujours et ni la guerre, ni la déportation de sa mère, ni l’absence de père, ne parviendront à détruire ses ambitions. Il le sait, il sera le prochain Furtwängler.
Le destin de ces deux âmes se croisent et se rejoignent harmonieusement, comme des notes de musique, pour former la plus belle des partitions. Le positionnement de Wilhelm Furtwängler pendant la seconde guerre mondiale est une zone obscure éclairée par la plume de Xavier-Marie Bonnot, qui, par son histoire, écrit l’Histoire. (Babelio)
J'ai beaucoup aimé ce livre . Histoire vraie et roman mélangés , la question étant de savoir si l'art est supérieur à la politique ?Très beau livre.
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