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Bribes de mots
29 mai 2012

pensée zen

Chat assis

Observer l'impression de calme et de sérénité
que dégage un chat assis et immobile.

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26 mai 2012

pensée

«Nous sommes comme les noix,
Nous devons être brisés pour être découverts.»

[ Khalil Gibran ]

25 mai 2012

Pensée

«Tous peuvent entendre mais seuls les êtres sensibles comprennent.»

[ Khalil Gibran ]

15 mai 2012

La fleur qui ne voulait pas pousser...

A vouloir trop bien faire parfois on en fait trop!

Un jour, deux amis ont eu l’idée de planter une fleur chacun, à partir d’un sachet de graines qu’on leur avait donné. Ces graines étaient censées devenir des fleurs magnifiques, odorantes et multicolores. Nos amis décident donc de planter chacun sa graine, puis de se retrouver 3 mois plus tard, pour comparer leurs deux belles fleurs. Le jour convenu, nos deux amis se retrouvent. Le premier dit :« Je ne comprends pas : j’ai planté cette graine en plein champ, puis je ne m’en suis plus occupé, je l’ai même carrément oubliée. Je ne l’ai même pas arrosée une seule fois, je ne suis jamais allé la voir, et pourtant, aujourd’hui, j’ai découvert une fleur magnifique, encore plus belle que ce à quoi je m’attendais ! » Le deuxième lui répond :« Je ne comprends pas, moi non plus ; et je suis vraiment frustré : contrairement à toi j’ai planté ma graine à portée de mon regard, j’ai multiplié soins et préventions, je l’ai entourée des plus grandes attentions et du plus grand amour, et aujourd’hui je n’ai absolument rien obtenu. Rien n’est sorti de terre. Comparé à ce qui t’est arrivé je trouve cela particulièrement injuste, surtout si l’on considère que j’ai poussé le souci du détail vraiment très loin : en effet, pas une journée je n’ai oublié d’aller déterrer ma graine pour l’astiquer soigneusement, surveiller les éventuels changements, puis la remettre très consciencieusement en terre, exactement au même endroit et dans la même configuration ! »

 BERNARD LAMAILLOUX

8 mai 2012

Pensée de lumière

Il vaut mieux allumer une bougie
que de maudire l'obscurité
(proverbe chinois)

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30 avril 2012

La barrière et les clous

Il était une fois un garçon avec un sale caractère. Son père lui donna un sachet de clous et lui dit d'en planter un dans la barrière du jardin chaque fois qu'il perdrait patience et se disputerait avec quelqu'un.

Le premier jour il en planta 37 dans la barrière. Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler, et le nombre de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour : il avait découvert que c'était plus facile de se contrôler que de planter des clous. Finalement, arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou dans la barrière. Alors il alla voir son père et il lui dit que pour ce jour il n'avait planté aucun clou.

Son père lui dit alors d'enlever un clou dans la barrière pour chaque jour où il n'aurait pas perdu patience. Les jours passèrent et finalement le garçon pu dire à son père qu'il avait enlevé tous les clous de la barrière.

Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit : "Mon fils, tu t'es bien comporté mais regarde tous les trous qu'il y a dans la barrière. Elle ne sera jamais comme avant. Quand tu te disputes avec quelqu'un et que tu lui dis quelque chose de blessant, tu lui laisses une, blessure comme celle là. Tu peux planter un couteau dans un homme et après lui retirer, mais il restera toujours une blessure. Peu importe combien de fois tu t'excuseras, la blessure restera.

Une blessure verbale fait aussi mal qu'une blessure physique.

29 avril 2012

Pensée

                                                            Si j'écoute j'oublie...
                                                         Si je vois je me souviens...
                                                         Si je fais je comprends.

26 avril 2012

Pensée gourmande

La vie est parfaite puisqu'elle nous ressert toujours le même plat
jusqu'à ce que nous prenions conscience
de ce que nous sommes en train de manger.
Guy Corneau

25 avril 2012

Pensée mathématique

Ce qui compte ne peut pas toujours être compté,
et ce qui peut être compté ne compte pas forcément.
A Einstein

22 avril 2012

Pensée zen

Il était une fois, dans une montagne très lointaine, un vieil homme qui vivait avec son petit-fils.
Chaque matin, ce vieil homme se levait très tôt pour lire.
Certains livres furent lus et relus plusieurs fois, tellement qu'ils en étaient usés. Mais le vieillard était toujours passionné par la lecture. Aucun matin il n'oubliait.
Son petit-fils imite son grand-père, il fait des efforts chaque jour pour lire. Un jour il lui demande :
— Grand-père, j'ai essayé de lire comme toi, mais je ne comprends rien. Ou bien je comprends certains paragraphes mais quand je referme le livre, j'ai tout oublié. Qu'est-ce donc que la lecture t'apporte de bien pour que tu lises ainsi ?
Le vieil homme était en train de remplir le poêle avec du charbon. Il tourne la tête, voit le petit et dit :
— Tu emportes ce panier à charbon au fleuve et tu me le rapportes rempli d'eau.
Le petit le fait tout de suite mais quand il arrive à la maison, l'eau du panier s'est complètement écoulée.
En voyant le panier, le vieil homme sourit et dit :
— L'eau s'est totalement écoulée ! La prochaine fois, tu marcheras peut-être plus vite.
Et il demande au petit de retourner au fleuve pour remplir le panier d'eau.
Cette fois-ci, le petit court très vite mais une fois encore, quand il arrive, le panier est tout vide.
Hors d'haleine, il dit à son grand-père :
— Prendre de l'eau avec le panier, c'est impossible !
Alors, il prend un seau pour amener de l'eau mais grand-père intervient :
— Je ne veux pas un seau d'eau mais je veux un panier d'eau. Tu peux le faire, mais il faut faire des efforts.
Ensuite il redemande au petit de retourner au fleuve pour chercher un panier d'eau.
A ce moment là, le petit sait que c'est impossible de mettre de l'eau dans le panier mais il veut montrer à son grand-père que, même s'il court très très vite, l'eau sera toute écoulée avant d'arriver. Donc il retourne au fleuve et court vraiment très vite.
Cependant quand il arrive auprès de son grand-père le panier est toujours vide.
— Regarde, grand-père, dit-il en haletant. C'est vraiment inutile.
— Tu penses que c'est inutile ? dit le vieil homme...
— Maintenant tu essaies d'observer le panier.
Le petit regarde le panier et pour la première fois il s'aperçoit que le panier est très différent. Ce n'est plus un panier à charbon sale mais c'est un panier tout propre grâce à ce lavage, à l'intérieur comme à l'extérieur.
Le vieil homme caresse la tête de l'enfant et lui dit :
— Mon petit, c'est ce qui se passe quand tu lis des livres. Tu peux ne pas tout comprendre, tout mémoriser mais quand tu lis, le livre te change de l'intérieur à l'extérieur, change ton âme, ta tête, comme l'eau a rendu propre le panier à charbon. * * *

Histoires de sagesse pour vivre ... mieux Recueilli, traduit , rédigé par Le Yen ZYS

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