parce que la tête dans les nuages...pensée zen
Prenez racine.
Sous un tilleul, sur un banc ou à une terrasse de café.
Prenez racine.
Prenez racine.
Sous un tilleul, sur un banc ou à une terrasse de café.
Prenez racine.
Efforcez vous 7 minutes de regarder autrement
toutes les couleurs autour de vous:
sentez-vous entourés de couleurs.
Ne passez pas à côté d'une occasion d'ôter vos chaussures.
Les pieds à l'air, la vie devient soudain
plus détendue et légère !
Réservez un traitement spécial à tous les " on sait jamais":
A votre insu, ils encombrent souvent autant d'espace que votre tête.
Débarrassez- vous-en rapidement, définitivement.
Un récit tout en pudeur sur son père de coeur. Sur Michel Fottorino qui en mars 2008 s’est donné la mort. Il l’avait adopté, lui avait offert son nom et son amour. Il était le guide qu’attendait le jeune Eric. Au fil des pages nous découvrons la vie de ce kiné au grand coeur. Grâce à l’écriture simple d’Eric Fottorino,il n’y a pas de larmoiement, juste le regret de ne pas s’être tout dit.
Un livre superbe, très sensible, beaucoup d'émotion, de réflexion sur la filiation, les choix de vie ou de mort, sur la face cachée de chacun, connait-on vraiment l'autre ou simplement ce qu'il veut bien nous montrer... à lire!
Histoire d’un fermier habitant un trou perdu et qui s’assayait sur les marches extérieures de sa maison pendant la saison des semailles. Un étranger s’est arrêté un jour à la maison du fermier pour demander un verre d’eau. « Comment le blé se porte-t-il ? » a demandé l’étranger.
- Je n’en ai pas semé, a répliqué le fermier.
- Vraiment ? a dit l’étranger. Je pensais que c’était une région favorable à la récolte du blé.
- J’avais peur qu’il ne pleuve pas, a dit le fermier.
- Oh, eh bien, comment se porte la culture du maïs ? a demandé l’étranger.
- Je n’en ai pas, a répondu le fermier.
- Vous n’avez pas planté de maïs mon plus ? a demandé l’étranger un peu déconcerté.
- Non », a dit le fermier. J’avais peur que le maïs pourrisse.
- Dieu du ciel ! a crié l’étranger, qu’avez-vous donc planté ?
- Rien ! a répondu le fermier. Je n’ai tout simplement pas pris de risques.
Si nous récoltons vraiment ce que nous semons, je vous demande alors ce que ce fermier a semé en ne prenant pas de risques ? Vous avez raison – absolument rien !
tiré du livre: Vous inc de Burke Herdge
«La vraie sagesse, la vraie supériorité
ne se gagne pas en luttant mais
en laissant les choses se faire d'elles-mêmes.
Les plantes qui résistent au vent se cassent,
alors que les plantes souples survivent aux ouragans.»
– Épicure
Devant l'obstacle, la fourmi ne se pose pas la question :
"Pourquoi ça m'arrive et à cause de qui ?" Mais :
"Comment je vais me sortir de cette situation
et avec l'aide de qui ?".
Bernard Werber, essai sur les fourmis
Dans le souffle
D’un silence
J’ai égrené
Un soupçon de sable
Entre mes doigts et
J’ai entendu s’effilocher
La sirène de ton adieu
Consigne: la mer , cinq mots imposés: silence, souffle, sirène, sable, soupçon
Tu te souviens, papa, nous t’avions promis ….
Alors, nous avons préparé
Une très belle fête familiale
Cousins et cousines, tantes et oncles
Neveux et nièces, grands et petits, même tout-petits
Ils sont venus de près ou de loin, même de très loin
Ils étaient là….
Heureux de se retrouver ou même de faire connaissance,
De découvrir la nouvelle génération
De bavarder avec les plus anciens
A l’ombre des tilleuls
De partager des souvenirs,
De se raconter leur vie
Je leur ai retracé en images et en mots
Un peu de notre histoire à travers
Mes recherches généalogiques
J’ai tellement aimé être avec eux
Que je leur dis merci
D’être ce qu’ils sont
Chaleureux, accueillants, drôles
Farceurs, bienveillants, généreux
J’aurai aimé que ce temps là n’en finisse pas…
Maxime nous l’a si bien chanté, vous étiez avec Nous,
Bon papa et oncle Pierre.