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Bribes de mots

2 août 2009

parce que la tête dans les nuages...pensée zen

                             Prenez racine.
Sous un tilleul, sur un banc ou à une terrasse de café.
                            Prenez racine.

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1 août 2009

Parce que le soleil brille....pensée zen

Efforcez vous  7 minutes de regarder autrement
toutes les couleurs autour de vous:
sentez-vous entourés de couleurs.

31 juillet 2009

parce que ...vacances ! pensée zen

Ne passez pas à côté d'une occasion d'ôter vos chaussures.
Les pieds à l'air, la vie devient soudain
plus détendue et légère !

30 juillet 2009

Pensée zen

Réservez un traitement spécial  à tous les " on sait jamais":
A votre insu, ils encombrent souvent autant d'espace que votre tête.
Débarrassez- vous-en rapidement, définitivement.

29 juillet 2009

L'homme qui m'aimait tout bas de Eric Fottorino

Un récit tout en pudeur sur son père de coeur. Sur Michel Fottorino qui en mars 2008 s’est donné la mort. Il l’avait adopté, lui avait offert son nom et son amour. Il était le guide qu’attendait le jeune Eric. Au fil des pages nous découvrons la vie de ce kiné au grand coeur. Grâce à l’écriture simple d’Eric Fottorino,il n’y a pas de larmoiement, juste le regret de ne pas s’être tout dit.

Un livre superbe, très sensible, beaucoup d'émotion, de réflexion sur la filiation, les choix de vie ou de mort, sur la face cachée de chacun, connait-on vraiment l'autre ou simplement ce qu'il veut bien nous montrer... à lire!

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23 juillet 2009

Prise de risque

Histoire d’un fermier habitant un trou perdu et qui s’assayait sur les marches extérieures de sa maison pendant la saison des semailles. Un étranger s’est arrêté un jour à la maison du fermier pour demander un verre d’eau. « Comment le blé se porte-t-il ? » a demandé l’étranger.

-    Je n’en ai pas semé, a répliqué le fermier.

-    Vraiment ? a dit l’étranger. Je pensais que c’était une région favorable à la récolte du blé.

-    J’avais peur qu’il ne pleuve pas, a dit le fermier.

-    Oh, eh bien, comment se porte la culture du maïs ? a demandé l’étranger.

-    Je n’en ai pas, a répondu le fermier.

-    Vous n’avez pas planté de maïs mon plus ? a demandé l’étranger un peu déconcerté.

-    Non », a dit le fermier. J’avais peur que le maïs pourrisse.

-    Dieu du ciel ! a crié l’étranger, qu’avez-vous donc planté ?

-    Rien ! a répondu le fermier. Je n’ai tout simplement pas pris de risques.

Si nous récoltons vraiment ce que nous semons, je vous demande alors ce que ce fermier a semé en ne prenant pas de risques ? Vous avez raison – absolument rien !



tiré du livre: Vous inc de Burke Herdge

22 juillet 2009

Le sens du vent

«La vraie sagesse, la vraie supériorité
ne se gagne pas en luttant mais
en laissant les choses se faire d'elles-mêmes.
Les plantes qui résistent au vent se cassent,
alors que les plantes souples survivent aux ouragans.»
– Épicure

18 juillet 2009

Pensée

Devant l'obstacle, la fourmi ne se pose pas la question :
"Pourquoi ça m'arrive et à cause de qui ?" Mais :
"Comment je vais me sortir de cette situation
et avec l'aide de qui ?".

Bernard Werber, essai sur les fourmis

15 juillet 2009

La mer en 5 S

Dans le souffle

D’un silence

J’ai égrené

Un soupçon de sable

Entre mes doigts et

J’ai entendu s’effilocher

La sirène de ton adieu

Consigne: la mer , cinq mots imposés: silence, souffle, sirène, sable, soupçon

14 juillet 2009

Tu te souviens...

Tu te souviens, papa, nous t’avions promis ….

Alors, nous avons préparé

Une très belle fête familiale

Cousins et cousines, tantes et oncles

Neveux et nièces, grands et petits, même tout-petits

Ils sont venus de près ou de loin, même de très loin

Ils étaient là….

Heureux de se retrouver ou même de faire connaissance,

De découvrir la nouvelle génération

De bavarder avec les plus anciens

A l’ombre des tilleuls

De partager des souvenirs,

De se raconter leur vie

Je leur ai retracé en images et en mots

Un peu de notre histoire à travers

Mes recherches généalogiques

J’ai tellement aimé être avec eux

Que je leur dis merci

D’être ce qu’ils sont

Chaleureux, accueillants, drôles

Farceurs, bienveillants, généreux

J’aurai aimé que ce temps là n’en finisse pas…

Maxime nous l’a si bien chanté, vous étiez avec Nous,

Bon papa et oncle Pierre.

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