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Bribes de mots
25 novembre 2011

La tristesse des anges de jon kalman Stefansson

La  rudesse du climat qui assiége l'Islande l'hiver venu, rend les déplacements difficiles, et  les relations entre les gens d'autant plus importantes. Récit très fort, touchant et écrit de façon très poétique .      

C'est tout simplement superbe

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25 novembre 2011

La fin des haricots


Tu es devenu
L’injoignable
L’intouchable
L’impraticable
L’inabordable
A mille bornes de nous
Et ton irraisonnable
Phobie des ondes
Avec ou sans fils …
C’est la fin des haricots….

Consigne: finir le texte par: la fin des haricots

 

20 novembre 2011

pas d'inquiétude de Brigitte Giraud

Lorsque son fils tombe gravement malade, un père est contraint de prendre un long congé pour s’occuper de lui. Face à cette nouvelle situation, toute la famille perd petit à petit ses relations sociales et ses repères. Dans un élan de générosité aussi radical qu’inattendu, les collègues du narrateur donnent chacun de leurs congés pour lui permettre de rester près de son fils.

Fascinante auscultation d'un puzzle familial en plein déséquilibre, Pas d'inquiétude - phrase "rassurante" d'un gentil médecin - relève du grand art : dire le pire avec les mots les plus doux.  

B.Giraud écrit toujours sublimement bien, elle a les mots pour dire les maux.

18 novembre 2011

Cinq sens

La moutarde me monte au nez
Je canalise ma colère mais
Ça sent le brulé
J’entends mon sang qui bouillonne
Mes oreilles qui bourdonnent
En un sifflement entêtant
Je vois tout rouge
Un feu d’artifice d’insultes mijote
Un arrière goût acide et amer
Envahit ma bouche
J’ai du mal à  contrôler
Un subtil tremblement qui m’ébranle
La cocotte minute est prête à exploser
J’arrache la soupape
La vapeur vrombit en jets brûlants
Je me détends…..
Cette fois encore ils ont échappé au pire…..

 Consigne: utiliser les 5 sens dans le texte

11 novembre 2011

la accabadora de Michela Murgia

 Dans un petit village sarde des années cinquante, la vieille couturière, Tzia Bonaria, décide d'accueillir chez elle Maria, quatrième fille d'une veuve d'humbles origines. Ce sera sa " fille d'âme ", à laquelle elle va apprendre son métier, offrir un avenir, tout en l'obligeant à s'appliquer à l'école, ce qui n'est guère courant pour une fille à l'époque. Maria grandit donc entourée de soins et de tendresse; mais certains aspects de la vie de la couturière la troublent, en particulier ses mystérieuses absences nocturnes. En réalité, Maria est la seule du village à ignorer la fonction de Tzia Bonaria. La découverte de ce secret ne sera pas sans conséquence et il faudra bien des années pour que la fille d'âme arrive enfin à pardonner à sa mère adoptive. Dans une langue à la fois poétique et essentielle, Michela Murgia décrit merveilleusement les plis et replis les plus intimes du rapport très singulier qui unit la vieille Tzia Bonaria et la jeune Maria, dans une Sardaigne archaïque, aux us et coutumes fascinants.

Un livre superbe !

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11 novembre 2011

La danse du hibou

Suis un vieux hibou perclus d’arthrose
De branche en branche je sautille maladroit
Ma vue baisse, la nuit j’ai peur, je n’ose
En manque d’équilibre, plein d’effroi
Mon kinébou m’a prescrit la danse du hibou
Un pas en avant, un pas en arrière
Un pas de côté, on se baisse
On se redresse, on s’étire,
On respire…. Et on recommence
Au rythme des hou hou
La nuit je me dérouille
Ouille ouille ouille
Vieille fripouille

 Consigne: la danse du hibou...plutôt léger !

4 novembre 2011

Confiance en vous?

« Ce n'est pas ce que vous êtes qui vous retient,
            c'est ce que vous croyez ne pas être. »

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