8 octobre 2010
Infinie tristesse
Il est parti, envolée son âme
Je vogue, brouillard cotonneux
A la dérive, loin des rives de la vie
Où tout semble soudain si futile, si dérisoire.
Il a largué les amarres
Je reste désemparée,
Je m’accroche aux souvenirs passés
Qui s’entrechoquent à la réalité
De l’absence, du plus jamais
Le souvenir est bien vivant
L’amitié ne meurt pas, onde
Indestructible d’un monde à l’autre.
Claude, le doux, le juste,
Soucieux du bien être, de la sécurité
Et du bonheur des autres
Claude, le sportif, l’artiste,
Tu vas nous manquer
Tu as gravé en nous
Ton empreinte de sagesse
Tu as staffé ta place
Dans nos coeurs.
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