pensée
«Tout voyage, même s’il est de mille kilomètres,
commence par le premier pas.»
– Lao-Tseu
«Tout voyage, même s’il est de mille kilomètres,
commence par le premier pas.»
– Lao-Tseu
Rien de moins
Moins que rien
Rien de plus
Plus que riens
Rien de rien
Rien sans rien
Rien de bien
Combien de riens
Rien sans plus
Juste rien !
A la manière de Leny Escudero
Papa,
Ya des jours comme ça
Je voudrais que tout s’arrête
Que tu reviennes
Me donner la main
Doigts crochetés comme
Les maillons d’une chaîne
Tendresse infinie
Infinie tristesse
Mais tu n’es plus là
Dis, papa
Où est-il le chemin
Pour aller vers hier
Moi, je ne sais plus très bien
Le temps où l’après n’existait pas
Où je dégustais le présent
Cadeau de la vie
Maintenant tu sais
J’ai perdu l’insouciance
Du temps de mon enfance
Ya des jours comme ça
Je voudrais te retrouver
Que tu me parles de toi
De ta vie avant moi
Des trésors cachés dans ton cœur
Des tristesses secrètes
Ya des jours comme ça…
Consigne des impromptus: parodie d'une chanson. J'ai envoyé ce texte parce que je l'aime particulièrement, je l'avais écrit pour la fête des pères.
Y a des jours comme ça
J'voudrais que tout s'arrête
Et reposer ma tête
Dans le creux de ton bras.
Et là je voudrais tant
Oublier ma détresse
Sous l'infinie tendresse
Que m'apportait ta voix
Y a des jours comme ça
Lorsque ma tête roule
J'voudrais que tout s'écroule
Parc'que tu n'es pas là.
Dis-moi, Petite mère
Où est-il le chemin
Pour aller à naguère
Moi, je n'sais plus très bien
Dis-moi, Petite mère
Où est le vieux tilleul
Qui lorsque j'étais seul
Me croyant un poète
M'a entendu criant
Aux diables à la ronde
Je referais le monde
Lorsque je serais grand.
Maintenant tu sais
J'ai perdu l'insouciance
Au temps de mon enfance
Toi, tu me consolais,
Y a des jours comme ça
Ah! Dieu, que je regrette
Le temps perdu peut-être
Je ne comprenais pas,
Lorsque sur mon front lourd
Ta main venait si tendre
Comme pour y répandre
Ton cœur chargé d'amour.
Dis-moi, Petite mère
Où est-il le chemin
Pour aller à naguère
Moi, je n'sais plus très bien
Dis-moi, Petite mère
Où est le vieux tilleul
Qui lorsque j'étais seul
Me croyant un poète
M'a entendu criant
Aux diables à la ronde
Je referais le monde
Lorsque je serais grand.
Et maintenant tu vois
J'ai tant cogné ma tête
Aux murs de la planète
Je pleure d'être grand.
"Qu’importe en effet l’issue du chemin
quand seul compte le chemin parcouru.
On ne fait pas un voyage, le voyage nous fait
et nous défait, il nous invente.»
– David Le Breton
Les roses gallica, roses de France:
L'intégrisme du gallicanisme et l'intégrisme affectif.
Une rigidité de principe qui va jusqu'à l'intolérance.
Tout autre point de vue, tout autre façon de sentir
sont condamnés et exclus. En se fermant aux autres
et en sacralisant sa parole, se coupe de toute joie de vivre.
(B. Vial).
La rose est la fleur des rosiers, arbustes du genre Rosa et de la famille des Rosaceae. La rose des jardins se caractérise avant tout par la multiplication de ses pétales imbriqués qui lui donnent sa forme caractéristique.Appréciée pour sa beauté, célébrée depuis l'Antiquité par de nombreux poètes et écrivains, pour ses couleurs qui vont du blanc pur au pourpre foncé en passant par le jaune franc et toutes les nuances intermédiaires, et pour son parfum, elle est devenue la « reine des fleurs », présente dans presque tous les jardins et presque tous les bouquets. C'est sans doute la fleur la plus cultivée au monde, mais on oublie souvent que les rosiers sont aussi des plantes sauvages (le plus connu en Europe est l'églantier aux fleurs simples à cinq pétales, qui sont devenus à la mode, pour leur aspect plus naturel, depuis quelques décennies sous le nom de « roses botaniques ». (Wikipédia)
Le mot « rose », daté en français du début du XIIe siècle est dérivé du latin rosa, rosae (substantif féminin) qui désignait aussi bien la fleur que le rosier lui-même. Ce terme, apparenté au grec rhodon, aurait été emprunté à une langue orientale. Il est tentant de rapprocher « rose» de « rosée », pourtant cette rencontre, source d'inspiration inépuisable pour les poètes, est fortuite en français. En effet « rosée » dérive, par l'intermédiaire du bas-latin rosata, du latin ros, roris (substantif masculin), peut-être apparenté au grec drosos, venant d'une autre racine indo-européenne.
Allez petit Billy,
Tu ne vas quand même pas en faire
Tout un fromage
Tes chaussettes puent encore plus
Qu’un camembert pourrait en dire
A un roquefort
Tes chaussettes sont trouées pire
Que du gruyère
Dans un quart d’heure
On part chez pépé à
Saint Marcellin,
Files vite te changer !
consigne: inclure 4 fromages dans le texte
Celui qui n'ose pas ne doit pas se plaindre de sa malchance.
N'accuse pas le puits d'être trop profond,
c'est ta corde qui est trop courte.
Oh quel bien être, quel bien être indicible que de se sentir
en sécurité avec quelqu'un à l'abri de tout danger,
sans avoir à peser ses pensées, à mesurer ses paroles.
Tu ne peux pas juger un homme sans avoir marché
deux lunes d'affilées dans ses mocassins